Perriers La Campagne

La balade de Perriers La Campagne commence en réalité à Feuguerolles, un hameau. Mais c'est là qu'il y a la mairie, avec un parking aménagé pour les promeneurs :

Non loin de cette mairie, le jardin d'un amateur d'art naïf. Il a dû dépenser une petite fortune pour tout ça :

Bref, nous voilà dans la grande descente vers la vallée de la Risle. Nous sommes 5 sur ce parcours :

A La Rivière Thibouville, au printemps, j'avais vu ce champ de maïs à moitié brûlé par la sécheresse et la chaleur. Finalement, il a réussi à pousser. Au loin, le viaduc de l'autoroute A28 que nous verrons tant que nous serons dans la vallée :

Touchant tableau :

Le long de notre chemin, de la bardane. Vous savez ? C'est cette plante qui accroche ses graines à tout ce qui passe à proximité afin de les faire transporter ailleurs :

Sur un fil, rassemblement d'hirondelles. Elles se préparent pour leur migration annuelle. Déjà !

Un panneau insolite à l'entré de ce chemin qui, je crois, ne tente personne. Mais peut-être y a-t-il eu des problèmes dans un passé proche :

J'aime cette maison et son jardin. Les personnages y sont nettement moins naïfs, créatifs au contraire. Et la vigne vierge y donne de belles grappes :

Dans un buisson, de jolies petites fleurs dégagent une délicieuse odeur. Serait-ce une sorte de chèvrefeuille ?

C'est par un pont que nous traversons l'ex Nationale 13 (aujourd'hui Départementale 6013). Heureusement parce que la circulation y est rapide et intense :

Un peu plus loin, nous bénéficions d'un joli panorama sur la vallée de la Risle :

Il est très rare de voir des trains sur cette voie reliant Bernay à Rouen. Voici cette fois un train de voyageurs :

Sur une ciguë, une grosse mouche aux reflets verts :

Passage d'un planeur. Il s'agit d'un planeur motorisé, qui peut décoller seul et couper son moteur pour planer complètement. La photo étant prise au 1/1000 de seconde, on ne peut pas dire si l'hélice tourne ou non :

Nous entamons la remontée vers Feuguerolles par ce court raidillon. La suite de la montée est en pente douce et sans difficulté :

En haut, au pied d'un chêne et de fougères, des plants de myrtilles. Il n'y a aucun fruit. Je suppose que, ce chemin étant très passant, d'autres se sont régalés avant nous :

Nous voici auprès de l'autoroute :

LES DEGUEUS !!! Ces types là se disent amis de la nature, mais quand ils vont la voir, c'est avec un fusil. Et ils ne cessent pas de salir et polluer. Définitivement, les chasseurs sont des voyous qui ne pensent qu'à remplir leur congélateur en se fichant totalement des conséquences. Ils me dégouttent profondément :

Remis de cet accès de rage, je fais la photo du groupe. Claire, Sophie, Bernard, moi et Eliane :

Vers la fin de la balade, la lumière en forêt paraît très belle. Cela se rend difficilement dans les photos :

Souvent en initiant une rando, j'ai peu d'enthousiasme, me demandant si, vraiment, ce circuit en vaut le coût. Et à chaque fois, finalement, je suis ravi de l'avoir refait. Ça a encore été le cas aujourd'hui.

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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Ces temps-ci, Frédy, elles sont bien tes randos car il y a des flaques un peu partout. D'ailleurs, tu as vu ? Je ne te réclame jamais d'eau. C'est comme ça qu'il faut les faire, tes circuits.

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