Semaine du 12 au 18 Avril 2010

Le nuage est bien au dessus de nous, semble-t-il. Mais on ne le voit pas. Ce sont des poussières en suspension dans les courants de haute altitude. Il est très déconseillé aux avions d'aller s'aventurer là.

Il va falloir s'habituer au nouveau téléphone. Pour l'instant, j'arrive à ouvrir des tas de trucs dont je n'ai pas besoin, mais je ne parviens pas à les refermer autrement qu'en éteignant et rallumant l'appareil. Ca va venir !

Je suis allé faire quelques courses ce matin. Le temps est splendide ce matin. Deux grandes randos pour aujourd'hui et demain. Ca tombe bien !

Passez une bonne journée.

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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Bonne journée tout le monde !
Il fait très beau aujourd'hui, je vais profiter un peu de mon jardin, ce sera la première fois cette année !
Gros bisous à vous tous et j'attends pour demain le conte "revisité" de Gus, je n'aime pas non plus que les textes soient enfermés dans une structure rigide, même au théâtre. Certains comédiens ont le génie de modifier leur texte de façon à l'enrichir, j'aurais bien aimé voir Michel Serrault dans "la cage aux folles" !

Bonjour !

Vous nous avez pris le soleil toudé Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Bllbll

.

La puce et moi venons de nous réveiller. Rien de spécial prévu ce week-end mais il me reste 2-3 choses à faire, pas faites hier.

Joanie, à bientôt !

Gus, ta photo avec le filtre est d'un très bel effet. J'aime beaucoup Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 664980

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 664980

Frédy, si tu ne t'en sors pas avec ton GSM, expédie le moi, j'en ferai bon usage Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Rirediab

Je vais petit-déjeuner. A taleur Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Saphir a écrit:: Paname, merci d'avoir répondu à Frédy au sujet de tes messages : je t'avais aussi posé la question :

Saphir.
Je suis désolé, mais ne m'en veut pas, en ce moment je passe surtout pour dire bonjour, bonsoir, mais je ne lis pas tout. franchement je suis désolé. J'espère que tu vas bien (ou mieux) ainsi que tes puces. Où en est le problème avec la voisine acariâtre ??
Bisous @ ++++++.

Paname a écrit:

Saphir a écrit:: Paname, merci d'avoir répondu à Frédy au sujet de tes messages : je t'avais aussi posé la question :

Saphir.
Je suis désolé, mais ne m'en veut pas, en ce moment je passe surtout pour dire bonjour, bonsoir, mais je ne lis pas tout. franchement je suis désolé. J'espère que tu vas bien (ou mieux) ainsi que tes puces. Où en est le problème avec la voisine acariâtre ??
Bisous @ ++++++.

Ce n'est pas grave, je ne t'en veux pas du tout Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Sinon ça ne va toujours pas très fort moralement et mes filles vont bien.
Quant au problème avec la voisine, c'est au Procureur de prendre une décision et on n'en sait toujours rien.

Bonne sieste !

P.S : j'ai été sur le site laposte.net, j'ai écrit sur une carte mais je n'arrive pas à l'utiliser. Comment fais-tu ?

Toute fraiche, il y a juste une 1/2 h.

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 050gus10

Gus, ta photo est WAOUUUU !!!

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Bandeauy

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Bravo

Langue pendue Nombre de messages : 132 Age : 73 Date d'inscription : 22/01/2010

merci pour toutes ces superbes photos, j'étais en panne de livebox depuis jeudi soir et aujourd'hui je trouve toutes ces jolies fleurs c'est absolument féérique
bon week end à tous

Invité

Hello tout le monde !

Quelle belle journée !!! On a fait une longue promenade, les chemins ont été decorés aux arbres fleuris,
quel odeur et quel plaisir aux yeux !
On a prise de photos, je vais vous envoyer quelques-unes, demain.

J'aime beaucoup vos photos de fleurs, Frédy,Saphir...et Gus, c'est
EXTRA !!!

Andy, quelle drôle d'idée, tous ces petits mots d'amitiés partout !

Passlou, il y a parfois une locomotive vapeur qui part le week-end,
près d'ici.

BONNE SOIRÉE À TOUTES ET TOUS !!! Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Topela

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Topela

coucou les tous.....çà y est bien arrivés chez nous, voyage excellent....Bourges...Varzy....Tonnerre(on y a mangé)...Chaumont ...Nancy, pour ainsi dire personne ur la route...ciel voilé par chez nous...17° le long du parcours...
on va reprendre le train train....tout drôle sans les enfants....le calme...
merci aphir pour les fleurs....
big bisou
au fait Freddy, on fera comme toi maintenant.....pour les portables.....car moi j'aime bien changer..héhé!
Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Coucou Céline ! Coucou Claudette !

Coucou Bernadette ! Contente que vous êtes bien arrivés et, de rien pour les fleurs.

Bonne soirée Mesdames Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Ssxzr2zk0j

Bonsoir à tous et toutes

Je ne vous oublie pas mais je suis très très occupée en ce moment.

a tous de gros Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Crevé ! Superbe balade, temps splendide, group très sympa... mais là, je suis crevé. Je vais m'étendre un moment, je vous retrouve plus tard... peut-être !

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Dans la tête à Frédy

Moi je déclare forfait et vous souhaite une bonne nuit, les amis ! Je suis crevée ! Peut-être l'effet de ce premier soleil dont j'ai usé et abusé ? Je serai sûrement toute rouge demain, mais ça fait tellement de bien !
Bisous à vous tous.

Bonjour Andy,
Salut matutinal à tous en ce jour de la "Myrtille", 29e jour du mois de Germinal, dans notre bon calendrier républicain.
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, j’adore les conteurs, les orgues de barbarie, etc.
Ce qui fait l’intérêt des conteurs c’est la touche personnelle, les ajouts, les annexions, les changements que chaque conteur apporte à l’histoire originale ; le conteur qui récite un texte, c’est consternant, on n’est pas au théâtre, l’art du conteur, ce n’est pas de figer l’histoire dans le marbre mais de la faire vivre. Je n’ai pas hélas connu notre Molière (quoique, dans une vie antérieure…lol) pourtant j’ai la conviction qu’à l’époque l’improvisation à partir d’un canevas régnait. Vous vous demandez où je veux en venir, c’est simple, je viens de lire quelques contes en « lengo nostro » en patois de chez nous, je n’ai pas l’intention de vous le copier ici, comme je viens de l’expliquer, je trouve ça idiot, non, je vais essayer de vous le raconter à ma manière, avec mes mots, en ajoutant mes expériences, mon univers, mes souvenirs.
De l’original, je n’ai gardé que le canevas de l’aventure parisienne de Justin.

Je vous emmène dans mon vieux pays de Lozère.
Je suis le conteur des drailles,
Le conteur des joies, des misères,
J’ai mis mes pas dans ceux des pèlerins de St Jacques sur le haut-plateau d’Aubrac,
J’ai cheminé dans les forêts de châtaigniers,
Je vais vous relater, l'histoire de Justin le jeune.
Un conte philosophique, comme on dit à la ville.

Il faut vous dire, c’est une histoire que même les plus de cinquante ans ne peuvent plus comprendre. Je vous parle d’un temps pourtant pas si ancien que cela, du temps de mes grands-parents, avant la Grande guerre, pas la seconde, non la vraie, celle de 14.
Il faut que je vous dise, c’était il y a juste un siècle, c’était il y a mille ans, car mille ans sont comme un jour avant la Grande guerre. Le temps ne passait pas à la même vitesse.
À cette époque, mon papet régnait en maître sur la grande terre, une terre terrible, la terre de la Mothe rouge. On en raconte beaucoup à son sujet, on l’appelait aussi la terre maudite, non pas qu’elle ne donnât pas le meilleur des blés, non, mais à cause d’une légende.
Remarquez, ce n’est pas cette histoire que je veux vous raconter aujourd'hui, non, mais celle-là, peut vous aider à comprendre mon pays à cette époque.
Quand vous étiez enfant, Monsieur l’instituteur vous a peut-être parlé des guerres de religions après la révocation de l’édit de Nantes. Louis le Maudit, Louis le quatorzième envoya ses Dragons brûler les églises réformées et en particulier celles du vieux Comté du Gévaudan.
Un dimanche de printemps 1680, Brunette épousa Gerenton, c’était jour de noce à la Mothe rouge. Un jaloux, un envieux, un idolâtre de la Vierge, dénonça les mariés aux Dragons. Le Pasteur fut égorgé, quelques femmes piétinées par les chevaux, quant aux mariés, les Dragons les pendirent au grand noyer dans la cour de la ferme à la même corde face à face. Je ne veux pas vous choquer, mais vous savez ce qui se passe quand un homme est pendu. Ce fut la nuit de noce que ces maudits offrirent aux épousés.
Pendant cent soixante-dix ans personne ne voulut habiter à la Mothe rouge, jusqu’au jour, ou le père de mon grand-père acheta la terre et la maison pour agrandir son bien. Un grand malheur advint, il mourut en revenant de chez le notaire de Marvejols. Apoplexie, l’hémorragie le paralysa et l’emporta en quelques heures. .
Pour faire bref, et pas vous faire languir, j’abrège un peu. Sa veuve était une femme de tête, elle voulut utiliser son bien pour élever sa famille, son fils ferait des études de médecin à Montpellier, ce fut le premier de sa lignée à quitter la terre. Sa mère voulait l’établir comme notable, ils avaient assez de bien, assez de terre pour cela.
Revenu au pays, comme on ne peut pas être au four et au moulin, il engagea un métayer pour la Mothe rouge et un autre pour la ferme de Saint-Pierre. Celui de la plaine, de la ferme au vieux noyer s’appelait Justin, si on lui demandait : "De qui es-tu ?" il répondait : "Je suis Justin de Florence » selon notre vieille coutume. Il lui naquit un fils premier, du nom de Justin comme lui, puis sa femme lui donna trois filles, la petite dernière fit tourner le lait de sa mère et mourut dans sa première jeunesse. À l’époque les commères disaient d’un couple qui n’avait plus que des filles : « La femme a ….X ou Y, elle ne sait plus faire que fendues ».
Justin grandi, à douze ans après son certificat d’étude, il garda les vaches tout un été, à la terre basse ou à celle du Haut Carrouquet. Son père, Justin l’ancien comprit, qu’il aurait du mal à en faire un bon paysan. Un soir en regardant sa femme, il se gratta sous le chapeau, comme s'il avait des poux. Que faire de ce garçon ? La ferme ne pouvait pas nourrir des bouches inutiles, il allait se faire houspiller par le Maître s’il ne pouvait lui donner son dû à la Saint Michel. Sans oublier qu’un jour prochain, il aurait les deux petites à marier. S’il voulait un beau-fils de bonne tenue, il lui faudrait donner un bon et beau trousseau. Il fallait trouver une solution. En ce temps-là, un métayer devait demander conseil et permission, même pour les affaires de sa propre famille. Profitant du jour du marché, il alla en ville régler quelques affaires et sollicita un rendez-vous à Maître Mollin. Il faut encore que je vous dise une chose, à l’époque les gens ne disaient pas docteur, au Maître de la terre, seules les gens de la ville disait « Monsieur le docteur ».
Maître Mollin reçut son métayer à son habitude assis devant un bon feu de cheminée pendant que son métayer restait debout le chapeau à la main, il l'entendit, en laissant peser un grand silence, puis prenant son temps, en toute sagesse lui répondit : - « Tu me dis que ton fils, a obtenu son certificat d'études, il n’est donc pas bête et il sait lire et écrire, mais tu n’as pas d’argent pour en faire un Instituteur à cause de tes filles à marier, de tes vieux parents à nourrir ; tu me dis aussi que comme paysan, il ne reconnaît pas la ciguë d’une carotte, alors il faut que tu en fasses un fonctionnaire. »
Le Maître avait parlé, Justin le jeune devait donc entrer dans l'administration. Là au moins il ne risquait pas de s’empoissonner, ni se blesser avec un manche d'outil. Facteur dans l’administration des postes parut au père comme au fils, un bon métier, un métier noble puisque au service des autres, un métier sain, puisque au grand air, et laissant, en fin de journée, loisir de cultiver son potager ou pêcher une truite ou deux dans les eaux vives d’un torrent de nos montagnes.
Le hasard faisant bien les choses, il se trouva que le Monsieur le Receveur des Postes cherchait un auxiliaire pour compléter son escouade. Justin aux bons mollets, Justin pas bête, lui plut. « Tape là comme boeuf vendu ! » Ainsi fut signé le contrat entre le Père Justin et Monsieur le Receveur. Justin le jeune consentit docilement comme il se doit.
À partir de ce jour, on vit, notre petit Justin, la sacoche en bandoulière dans les drailles et sur les routes, faire à pied, ses vingt kilomètres par jour. Le pauvre petit croyait que fonctionnaire, c’était un métier de tout repos, un métier aisé. Alors, quand la neige tombat, que la tourmente soufflait, les sourcils givrés, il regrettait la ferme, le foyer où sa mère faisait cuire la potée de châtaigne...
Il réussit avec les quelques sous économisés à acheter une bicyclette au bout de deux ans. À l’époque l’administration fournissait une paire de souliers neuf un an sur deux, et un uniforme tous les trois ans sauf pour les auxiliaires qui n’avaient droit qu’aux souliers. La bicyclette l'arrangea beaucoup, excepté pour monter les côtes, nos routes des cols ressemblaient toutes à des chemins à lièvre….
Finalement, après cinq ans de cette vie de facteur auxiliaire, il apprit par Monsieur le Receveur de Marvejols, qu’il avait réussi le concours de facteur. Être titularisé, le grand rêve devenait réalité. Justin était content, son père, sa mère, sans oublier ses sœurs, il était reçu, ils étaient tous très fiers de lui. Quoique…. le pauvret, fut nommé… non pas au pays, mais dans une banlieue inconnue de Paris, au Kremlin-Bicêtre.
Jamais, il n’avait pris le train, trois nuits, à se ronger les sangs sans dormir. La veille de monter dans le train pour Paris, Monsieur le Receveur, lui expliqua qu'il pourrait demander dans quelque temps sa mutation et revenir au pays.
À Paris, une association lozérienne l'empêcha de trop dépérir. Il attendit ainsi, le pauvre, pas cinq ans, pas sept ans mais dix ans ! Dix ans avant que le vent ne tourne.
Il faut vous dire que ce fut une drôle de rafale qui souffla sur Justin.
Au banquet annuel de l’amicale des Lozériens de la capitale, Justin avec quelques autres jeunes, bu assez pour que son gosier ne fut plus à sec pendant un an … Quand il sortit, au milieu de la nuit, une envie irrésistible et bien naturelle le prit. Mais comment faire ? Tout est fermé à Paris la nuit et il n'y a pas à tous les croisements une pissotière pour se désenfler la vessie ! Tant pis, pense-t-il, « Au pays, je pissais bien au milieu de la route quand nous revenions de la foire, même les filles allaient s'accroupir au bord du chemin derrière le plus petit bouquet de genêt ! ». Aussitôt dit, aussitôt fait ! Justin se soulagea, là dans la rigole du trottoir. L'affaire se terminait quand une bougresse de concierge ouvrit sa fenêtre juste devant Justin qui ne c’était pas encore reboutonné -"Cochon ! Ivrogne ! " Hurla la cerbère. Justin l’interpelle « eh ! la femme, la belle affaire ! Tu n'en as jamais vu ?" Et elle de reprendre de plus belle. Alertée par les cris de la bougresse, une patrouille de police accourut, constata le délit, grâce à la flaque d’urine dans la rigole et emmena l’ivrogne au poste le plus proche. Heureusement, l’ange gardien de Justin fit bien son travail, car il avait gardé sa religion, l’ange choisit un commissaire, né du côté de Mende. Le gros homme écouta en souriant et en lissant la moustache, l’histoire de Justin -"Monsieur le Commissaire, en sortant d’avoir dansé les danses de chez nous, je me croyais au pays. Vous le savez bien, chez nous, nous ne faisons pas tant de manières. C’est vrai, j'avais bu, un peu trop et je n'avais pas remarqué, que la rue était éclairée comme en plein jour. Pardonnez-moi ! » Monsieur le Commissaire pensait qu’il n’y avait pas méchante faute. Une bonne réprimande devait suffire à éduquer un rustre comme Justin. Mais la méchante concierge, accompagnée du curé de sa paroisse porta plainte, pour outrage aux bonnes mœurs.
Le juge condamna Justin à payer une grosse amende, presque un mois de son salaire de fonctionnaire. L'affaire ne s’arrêta pas là, la voie hiérarchique engagea une procédure disciplinaire. On convoqua au Ministère Justin, on lui reprocha d'avoir fait honte à l’administration des Postes. Justin le pauvre bougre se vit perdu, il répétait « Pardon, pardon, je jure que je ne recommencerai pas ».
Après presque une heure de discussion, le président du conseil de discipline condamna Justin à une mutation d'office. Blanc comme la neige, les jambes chancelantes, Justin se disait. -"Aie, aie, aie, qui sait où ils vont m'envoyer ? Dans les colonies ? en Afrique, chez les cannibales ? Malheurs, malheurs, pauvre de moi ! ma pauvre mère va en mourir en apprenant ça, et mon pauvre père ne va plus oser descendre en ville, quant à mes sœurs, plus un homme ne voudra de l’une d’elles ».
Le président de la commission de discipline en lui lisant la sentence ajouta - « Il faut jeune homme que vous sentiez le blâme que l'Administration fait peser sur vous. Nous avons décidé de vous mettre à la disposition de la Direction départementale de Lozère ! J’accompagnerai votre mutation par une lettre circonstanciée à Monsieur le Directeur Départemental ».
Le pauvre Justin crut que ses oreilles n’entendaient plus, qu’il était devenu subitement sourd et que son cerveau lui jouait un vilain tour. Il se demandait s'il devait pleurer. Il pleura.
Le Président de la commission disciplinaire qui connaissait l’histoire de la bête du Gévaudan (ancien nom du département de la Lozère) s’imaginait une contrée terrible avec des loups, des gens féroces, où le pauvre Justin pleurerait pendant des années sur sa disgrâce. Etre banni de Paris, il n’y avait pas plus lourde sanction ! Quand à Justin qui pleurait de joie en quittant le Ministère des Postes, il se dit "Bougre d'imbécile, âne-baté, si j’avais su, en arrivant à Paris, je serais allé pisser sur le perron de Monsieur le Ministre des Postes, dix ans, j’ai perdu dix ans ».
N’essayez pas de faire comme le pauvre Justin. Autres temps autres mœurs, autres sanctions.
Le conteur vous raconte pêle-mêle, les histoires qu'il colporte, c'est à vous de faire le tri, de vous faire une idée, pas de morale chez lui, mais sans doute une âme.

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Bonjour à toi matinal Gus et à ton beau récit...le soleil brille il va faire beau et notre journée va à nouveau être chargée dans huit jours le calme sera revenu en attendant bon dimanche à tous et passez une belle journée Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

prenez tous soin de vous

Bonjour à tous ceux qui viendront après moi

Oh Gus ! voilà que je me branche sur L.E. juste pour un petit bonjour matinal et voilà que je m'accroche à la lecture de ton histoire si bien racontée. J'en ai lu chaque mot, chaque ligne, j'ai beaucoup aimé. J'aime beaucoup tout ce qui est littérature , contes et récits du 19 ème siècle et j'ai adoré ton histoire.

merci d'avoir écrit ce long teste. Je frappe très vite sur un clavier mais je sais combien il faut de temps pour un texte de cette longueur. J'ai envie de dire "encore et encore" mais c'est un lourd travail pour toi.

C'est un beau cadeau que tu nous as fait. J'invite chacun a prendre le temps de lire en entier.

Je te fais une grosse bise amicale pour ce beau cadeau.

Il semblerait que Dieu soit devenu un geek.. révisez vos cours d'informatique...

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Bonjour Gus, passionnant comme à l'accoutumée. Bonjour Paname, Mésange et Passlou.

Bonjour tout le monde.

Encore très beau temps ce matin, et encore une magnifique randonnée prévue. 14 heures à Pressagny l'Orgueilleux, un circuit de 16 kilomètres. Vous venez ?

J'entendais à la radio que les hélicoptères et même les ULM sont interdits de vol à cause du nuage de poussière volcanique. Il s'agit sans doute encore "d'un malentendu". Ce nuage est à 5000 mètres d'altitude au minimum. Pour des appareils qui volent à 300 mètres, vous parlez d'un danger !

Je vous souhaite une...

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 100418082118744281

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Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Frédy, c'est château Gaillard des Andelys ?

Ma photo matutinal,
vers 9h le rosier devant la fenêtre de la cuisine.
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J'oubliais,

- Pour les non Lozèriens, "La Mothe", c'est à côté de Banassac, au sud ouest du département.

- "Draille" vient d'occitan "dralha" qui signifie chemin, piste. Le mot, sous divers formes d'écriture est toujours utilisé, souvent mélangé avec du français, il indique un ancien chemin de montagne, utilisé depuis toujours par les gens et les troupeaux. Aujourd'hui les touristes l'utilisent dans le sens de « sentier de randonnée ».

Invité

Coucou du matin à tout le monde !

Andy, le voyageur...déjà parti... Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Grosbiso

Frédy, Mésange ou Gus qui a prise la plus jolie photo ?

Passlou qui trouve toujours des bonne images...

à vous tous j'envoie toutes mes amitiés et grosses bises

BON DIMANCHE ! Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Topela

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 Tulpjo10

Langue pendue Nombre de messages : 132 Age : 73 Date d'inscription : 22/01/2010

Bon dimanche à tous et à toutes

Semaine du 12 au 18 Avril 2010 - Page 6 1271577676299

Invité

Bonjour tous. Je vais imprimer le texte de Gus pour le savourer. La Lozère n'est pas si loin de mon Limousin et nous avons bien des choses communes ne serait-ce que cette belle langue d'oc que je parle un peu. Quand j'étais une petite fille je prenais un grand plaisir à échanger dans cette langue avec mon grand-père maternel et cela a laissé des traces. Plus tard, quand je suis "montée" à Paris pour prendre mon emploi de petite fonctionnaire, j'ai retrouvé dans un bureau de France Télécom où nous étions seulement une douzaine pourtant - le monde est petit - une "payse" et c'était notre bonheur de pouvoir échanger en occitan . Cela avait une saveur... ! Nous avons regagné toutes deux notre C orrèze natale et nous sommes très, très amies et ... nous échangeons toujours un peu en occitan ! Gus, je t'avais demandé dans un post de vendredi si tu connaissais les vertus de l'ail sauvage. Peux-tu m'en dire plus s'il te plait . Merci pour tout.
Merci pour les toujours très belles photos. Mais en fait les amis je crois - et vous ne m'en voudrez pas - qu'il faut remercier d'abord la Nature qui nous livre ces beautés. Mais les faire partager c'est un geste d'amitié que j'apprécie beeaucoup.
Hier nous avons passé la journée à Nohant chez G. Sand, puis sommes allés visiter une expo sur Chopin à Châteauroux et aussi le musée d'art traditionnel. Tout était très intéressant mais je serais bien restée, quant-à moi, chez Georges Sand pour pouvoir m'isoler dans son jardin et rêver. J'ai acheté deux romans que je ne connaissais pas. En fait, à part La Mare au Diable, François le Champi et la Petite Fadette, ma connaissance de cette auteure est très limitée. Je vais y remédier. Bonne journée à tous.

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