La netteté d'une photo, Gus nous en parlé, dépend largement des qualités techniques de l'appareil. Mais elle dépend aussi de la stabilité de l'appareil au moment de la prise de vue.
Les appareils compacts n'ont pas de viseur oculaire, on ne peut prendre les photos qu'en tenant l'appareil à bout de bras. Or, dans ces conditions, c'est inévitable, ça bouge. Si en plus la luminosité est faible, le temps de pause sera long et le tremblé se verra d'autant plus.
Avec les appareils bridge ou reflex, on conserve un viseur oculaire. Etant presbyte, je vois mal sur l'écran au dos de l'appareil et j'utilise presque exclusivement le viseur oculaire. Avantage : l'appareil, tenu à deux mains et appuyé contre mon visage, est stabilisé du mieux possible.
Lorsque les conditions de luminosité sont faibles, j'ai deux méthodes :
- j'utilise un trépied
- je cherche un appui quelque part. Un arbre, un mur, une chaise, n'importe quoi de stable contre lequel j'appuie l'appareil pendant la prise de vue. Il m'est même arrivé un jour de caler mon appareil dans la main d'une statue !
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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy