Hardencourt-Cocherel

Les photos de cette randonnée n'ont pas été faites avec mon appareil, oublié à la maison. Jean-Jacques m'a prêté le sien, un Nikon Coolpix P100, très semblable à mon Olympus. Merci à lui car sans cela, ce reportage n'aurait pu être fait.

Il y a quelques mois, avec le club Iton-Rando, j’avais découvert le circuit d’Hardencourt-Cocherel. Il m’avait bien plu. Il y a quelques semaines, Marie-Pierre m’a fait parvenir des cartes de plusieurs circuits dans la région, dont celui-ci, que j’ai proposé alors sur OVS. En voici le tracé :

Avec certains des participants, nous nous sommes retrouvés sur un parking de supermarché à Evreux, puis nous avons fait du covoiturage pour venir à Hardencourt-Cocherel, où nous en retrouvons d’autres. Hipo78 (c’est un pseudo) avait annoncé qu’il viendrait avec trois autres personnes, mais il n’est pas venu et n’a donné aucune nouvelle. Nous ne l’avons pas attendu. Nous serons finalement 14 à nous lancer sur le parcours :

Il y a de nombreux étangs dans cette région, d’anciennes carrières de sables ou de gravier. Cédés à des sociétés de pêche, ils ont tous été clôturés et leurs rives sont inaccessibles/ Dommage !

A Vaux Sur Eure, nous passons un petit moment au bord de la rivière. L’endroit est joli et serait propice à la méditation :

Après avoir retraversé la vallée, nous entamons la première montée. Elle se fait sur une petite route, la pente est douce, mais cela dure un peu. Bien entendu, je fais des arrêts :

En haut, dans une mare, quelques nénuphars, pas particulièrement beaux :

Et nous redescendons par un frais sentier de forêt :

Panorama sur la vallée de l’Eure et quelques centaines d’hectares de céréales :

A Croisy Sur Eure, nous apercevons au loin ce qui semble être une chapelle. Jean-Jacques, qui connaît bien cette région, nous explique qu’il s’agit d’un couvent dont nous ne voyons pas les principaux bâtiments, cachés par les arbres. Des bonnes sœurs vivent là et la messe y est dite tous les dimanches :

Nous cheminons ensuite à travers champs. Le soleil est un peu voilé, il y a un peu de vent, nous respirons bien, nous sommes bien :

Au début de la seconde montée, nous faisons la pause goûter. La majorité s’assied, moi non car je sais que la reprise serait trop difficile :

D’après Pascal, nous avons bien fait de nous dépêcher de traverser la forêt car ils sont en train de la démonter :

La deuxième montée est moins longue, mais elle est plus abrupte. Le chemin est ombragé et il y a de l’air :

Lors d’une halte, je parviens à photographier une fleur sauvage sur laquelle il y a un petit papillon et un bourdon :

C’est la redescente, cette fois, qui se fait sur route :

Elle nous ramène à Hardencourt-Cocherel :

Dans un jardin, des chiens dont nous ne savons définir l’espèce. Ils ont des allures de bergers allemands, mais avec un poil de Husky. Quant au jeune, on dirait un likaon, chien sauvage d’Afrique :

Bref, nous voilà revenus auprès de nos voitures. L’ambiance de cette randonnée a été si bonne que nous avons un peu de mal à nous séparer :

Il l’a bien fallu, cependant. Je garde un excellent souvenir de cette après-midi.