La Goulafrière

Dans un site web, j’ai trouvé quelques circuits à explorer. Il n’y a pas de descriptif, mais il y a les fichiers gps correspondant à chaque circuit, ce qui est nettement mieux. J’ai choisi aujourd’hui d’explorer celui de La Goulafrière, du nom d’un petit village proche de l’Aigle. Voici ce circuit tel que je l’ai relevé aujourd’hui :

On s’est retrouvés devant la mairie du village, et on y consulte le panneau de départ. A la fin du parcours, le gps m’annonce la distance parcourue : 12,4 kilomètres.

Bref, c’est parti. On est 5 à faire le parcours, sous un ciel bien gris :

On passe par-dessus l’autoroute A28. On est vendredi, il est 14 heures 35. On ne peut pas dire que ça bouchonne ! Au prix des péages, ce n’est guère surprenant :

Un peu plus loin, trouvant joli le cadre de la forêt, je fais arrêter mes compagnons afin de faire une photo de groupe. Voici Anita, Sophie, Fabrice et Patrick :

On est le plus souvent dans des environnements sauvages, mais on passe quand même auprès de quelques jolies maisons, comme celle-ci, par exemple :

En forêt, les arbres ont perdu leur feuille. Du coup, la dominante est le gris, couleur des troncs. Il ne reste que les fougères pour mettre de la couleur, même si elles sont mortes :

Il a plu récemment et les chemins sont souvent assez glissants. Dans des passages escarpés, c’est même un peu acrobatique. Sophie s’en sort très bien :

Dans leur pré, des taurillons. Ils se sont précipités le long de la barrière pour voir passer Ulysse :

Jolie vallée rustique :

Pour ressortir de cette vallée, la grimpette du jour, pas bien longue :

Un temps d’arrêt pour regarder un tracteur au travail :

Cette photo a été la dernière de l’après-midi. Quelques minutes plus tard on s’est arrêtés pour goûter, mais c’était en forêt. Avec le ciel couvert, il n’y avait plus assez de lumière.

Lorsqu’on est arrivés aux voitures, la nuit était tombée. On a eu juste assez de lumière pour revenir car on était encore en forêt. J’ai toujours une lampe de poche dans mon sac à dos, mais je n’ai quand même pas eu à l’utiliser.

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Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Invité

Jolie balade et comme toujours belles photos, j'ai l'impression que le toilettage du chien n'est plus qu'un souvenir La Goulafrière Rirediab

e "la goulafrière", ce nom me fait marrer, allez savoir pourquoi ? La Goulafrière Rirediab

Langue pendue Nombre de messages : 631 Age : 78 Date d'inscription : 01/08/2009

Moi je ne vois pas de gris dans tes photos, mais des dizaines de couleurs en camaïeu d'ocre, vert, et tous les tons de terre ,même ton chien est en camaïeu en partant de la couleur terre de ses pattes pour remonter jusqu'à son toupet qui lui reste aussi blanc que le cheval d'Henri IV qui n'était pas blanc comme chacun le sait!
très célèbre en tout cas puisque les vaches se précipitent pour le voir passer!!!
Tu recommences cet a.m???

La Goulafrière Grosbiso

Gisèle

Très belles ces photos ! Comme je n'ai pas, comme Gisèle, l'oeil du peintre, j'y vois pour ma part les couleurs ternes d'un début d'hiver, égayées cependant par les vêtements et les sourires des randonneurs.
Ulysse, tu en as du succès avec mesdames les vaches !

toujours de belles randos, meme l hiver pas de repit mais il semble qu il y ait un peu moins de monde a randonner ....
fredy , il faudra penser a offrir a ulysse pour son noel, de nouveau son shampoing préféré car avec toutes ces gadoues qu il récupère sur le ventre , les douches a l eau claire ne doivent pas suffire !! mais comme il doit aimer cela ;;...
aska , quand elle nous voit préparer le sac a dos et nous chausser , elle part a la porte la première, pas besoin de se chausser elle , elle tire juste sur sa laisse qui est pendue au clou !!

Pour l'instant, pas besoin de shampooing, je le lave à l'eau claire seulement.

Par contre, concernant ce circuit, c'est vrai qu'il est beau, mais il a un grave inconvénient : il est trop proche de l'autoroute. Pendant pratiquement toute la balade, on entend le brouhaha montant de cette autoroute et ce n'est pas agréable. A oublier, donc.

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