Bravissimo à Frédy, pour le choix d'une belle randonnée, somme toute éprouvante juste-comme-il-faut pour l'organisme et la réalisation de qualité du reportage y afférent.
Le soleil aura resplendi tout le temps de la balade.
Fait majeur, la végétation reprend activement, ne parlons pas du foisonnement des perce-neige.
Un bémol, la brume persistante empêchant des horizons contrastés.
Les gens ne sont jamais contents.
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Découvertes de la journée :
- Pour Ulysse, sa Pénélope (Maggy) arrêtant de faire tapisserie,
- Pour nous, outre l'intérêt de prendre un itinéraire connu en sens inverse et aborder des lieux nécessairement sous un angle différent, il apparaît une évidence : nous rencontrons plus de monde (c'est le principe de la relativité : quand nous sommes sur la route, nous croisons plus de voitures que nous en dépassons) Elémentaire, mon cher EINSTEIN !
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FOURGES apparaît autrement plus belle que la dernière fois.
Par rapport à la fois précédente, le parking du départ se situe de l'autre côté de la célèbre auberge du moulin.
Le moulin et le lavoir sont superbes.
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Le départ est donné.
Une rue bordée de belles maisons.
Une girouette drôlement chouette
L'église, et son cadran (déjà zoomé par Frédy)
Dans les champs, les premiers labours.
Que de mal se sont donnés nos ancêtres avec uns simple charrue et un cheval de trait !
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Nous progressons dans la montée.
Un tronc tourmenté ?
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Soudain, que se passe-t-il ? Ulysse en avant ne répond pas à nos sollicitations.
Enfin, il revient comme endiablé.
Il a aperçu "une" coton (finalement, nous ne saurons pas si elle est aussi hydrophile que lui)
Objectivement, le bonheur est dans le pré
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Finalement, nous évitons le détournement de mineure (elle n'a que deux ans et demi), pour atteindre l'apex de la randonnée.
Vu, l'arbre en boule, comme dirait un artilleur.
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Nous traversons des localités quelque peu désertées (congés scolaires ?)
Beaucoup de chiens (bêtes et ) méchants.
Enfin, un gentil toutou, avec porte-voix portatif (dont il ne profite pas) qui se laisse caresser par Frédy.
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De nouveau nous progressons dans les champs, à la lisière des bois, synonymes de réserves de chasse.
Heureusement, le gibier se trouve au dehors, à preuve les empreintes de chevreuils, cerfs et sangliers que nous relevons dans les chemins boueux.
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Les randonneurs vont pouvoir circuler sans crainte.
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Nous traversons une zone, dont l'accès est préservé des engins à moteurs autrement que par une affichette.
A la sortie de ladite zone, Frédy et Ulysse posent pour la postérité.
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Dans le ciel, plusieurs engins motorisés, des para-moteurs, un ULM haut de gamme, un piper …
Die Sonne lacht ! comme dirait certainement Poisson Rouge.
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Déjà le retour le long de l'Epte dont les berges ont été abondamment dégagées.
Des ragondins habitent manifestement dans le quartier.
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Un dernier parterre de perce-neige pour la route ?
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Il n'y a pas de doute, la chaleur et les beaux jours s'annoncent pour les semaines à venir
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