la leçon d'OPERA de Tante Gaby

C'est l'amour vache : "si je t'aime, prends garde à toi".

Allez Gaby, au boulot : vivement la suite.

"la fleur " Uranie
la marque n'est pas précisée ...

tout à fait Gaby !


mais bon c'est toi le prof .......

c'était comme tu le disais peut-être du pissenlit !

voilà donc le mystère est de savoir...de quelle fleur il était question ?

je vais demander à Colombo de conduire l'enquête ...

aller .. tout le monde a dejeuné ??
non, non pas question de cluquer ... crévindiou (en espagnol CARAMBA )
on s'y remet

nous en etions restés zou ??

ah oui ..
Une fois partie, Don José joue à pile ou face pour savoir s’il va ramasser la fleurette et opte pour la cueillette. Micaela entre sur scène et lui saute au cou.

nb : pour une fois ce n'est pas la soprano qui a le role principal ( )




Micaela :« Salut José ! T’as l’air en forme ! J’suis là pour t’informer des dernières news au bled
et pour te refiler un peu de blé que ta môm a tiré de son bas de laine pour toi
– c’est qu’ça gagne pas lourd, lourd, un caporal ibère !

Don José : Sympa ! Justement j’avais plus un radis pour la soirée bière-foot de ce soir, ça me dépanne fichtrement
! Au fait, comment qu’elle va ma maternelle ?
Et ses cors aux pieds… toujours obligée de porter ses tongs ? (Parle moi de ma mèèèèèèèèère ) (air connu)

Micaela : Elle fait avec…
mais en ce moment, c’est pas la grande forme ! Monter l’eau pour la vaisselle et la lessive trois fois par jour,
quand on est perché sur de la caillasse,
on peut pas dire que ça arrange les palmes ! »


Le dialogue est interrompu par un piaillement de basse-cour à l’heure de casser la graine :
tout le monde rapplique sur scène,
badauds, soldats, cigarières, pour constater que la Carmen a encore fait des siennes en épinglant une autre fille avec sa lime à ongle.




Zuniga ordonne à son caporal préféré d’arrêter la fautive,
assisté de deux autres dragons (quel héroïsme ! Trois mecs armés jusqu’aux dents contre une gitane - un peu énervée d’accord - mais quand même !)
Le chef galonné la questionne et sa réaction est des plus mature (pensez ! Chantonner en se bouchant les oreilles « Tra, la, la, tra, la, la » c’est être drôlement adulte ça !)
(y a que dans cet opera qu'on voit ça d'ailleurs .)



Evidemment ça énerve un tant soi peu Zuniga qui lui quitte les doigts des pavillons auriculaires (en plus c’est propre !)
et comme elle recommence,
lui attache les mains dans le dos, signe le bon d’entrée pour un tour gratuit en cellule et charge José de garder cette excitée du bulbe.
Une fois seuls au mitard,
Carmen se lance dans son numéro de séduction :
(la fleur que tu m’avais donnée (air connu)

bon j'ai tout bien écouté mais il y a une chose qui me titille ..... la carmen elle est espagnole ou normande ???? .... le pt'ête bein qu'oui ou p'tête bein qu'non c'est Nomand !!!!! ah ! ces espagnols ça copient tout.... enfin je me demande si la Carmen n'avait pas fait un tour par Camembert moi ????

sans rire .... j'ai tout suivi et la fleur de pissenlit est très évocatrice de la fin je trouve !!!

continue ma belle je suis suspendue à tes mots ......

Et moi donc...

N'empêche que c'est bien la première fois qu'on voit une gitane faire des gauloiseries!!!!!

Et de toutes façons, le tabac tue!

Une gitane gauloise, mais elle ne chante pas que des chansons paillardes.

coucou
la suite tantot
bicose
ché m'en vé chez le kinéchiterapeute

pour le flamenco , j'ai encore du mal avec les castagnettes et pour la corrida ,, avec les banderilles c'est pas encore

(nonnnn joanie ,,, pas les bandes de rilles - ce ne sont pas de joyeuses copines du Mans !!!!!!!)

Merci Gaby d'enfin me dire qui était Carmen je vais me sentir plus cultivée maintenant,

Y a pas à dire ici on s'instruit, faut se le dire


Car moi j'en étais restée à Carmen ! et la Hurlette !

Deux personnages que je connaissait bien puisque dans ma jeunesse...... il y a boudiou longtemps , vécu leurs aventures "Sur le banc".

Carmen, on l'appellait ainsi parce que, ramasseuse de mégots et en quelque sorte négociante en tabac, elle s'apparente directement à la cigarière Carmen, immortalisée par Prosper Mérimée avec la géniale complicité de Georges Bizet. La Hurlette ? Son sobriquet est d'une origine plus lointaine. Notre héros chante dans les cours, et en argot professionnel, chanter (plutôt mal que bien) se dit "agiter la hurlette".

Vous souvenez vous les copains d'eux ?

Punaise! C'est vieux tout ça! Et qu'est ce que c'était chouette! Je regarderais bien de nos jours ces vieux films ( Renoir) et pièces de théâtre qui ont émerveillé ma jeunesse. Les trouve-t-on à louer ou à acheter même? A télécharger, je demande même pas!

Dans la mule, en faisant une recherche sur "souplex sourza", ça doit être possible.

Ma mule, elle déconne à donf! Il va me falloir attendre Noël que le copain de ma fille ou mon fils viennent voir ça de plus prêt! Elle marchait bien et un jour.... plus rien, elle a dû se déparamétrer toute seule pendant que les honnêts gens dormaient!!!!! Et depuis, je suis sans mule! je n'arrive pas à la remettre sur ses pattes!!!!!

je ne sais pas si elle gère des films si vieux???? peu de gens doivent avoir encore ces films!!!!

Sur Amazon.com

Moi j'aimais l'entendre le midi à la radio qui s'appelait à cette époque ??? Paris inter ? je ne sais plus ... j'attendais tous les midis d'entre les deux clodos se disputer .....j'étais minotte !

dites donc bande de gnoufs , il suffit que je m'absente pour que vous déviez du sujet ????

je vais vous apprendre moi ..
vous feriez mieux de reviser votre Bizet
tant , y 'a intérro ecrite

Maitresse...j'ai tout révisé !







Au lycée Papillon

autres interprètes: Fred Adison










Elève Labélure ? ... Présent !
Vous êtes premier en histoir' de France ?
Eh bien, parlez-moi d'Vercingétorix
Quelle fut sa vie ? sa mort ? sa naissance ?
Répondez-moi bien ... et vous aurez dix.
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
Vercingétorix né sous Louis-Philippe
Battit les Chinois un soir à Ronc'vaux
C'est lui qui lança la mode des slip...es
Et mourut pour ça sur un échafaud.
Le sujet est neuf,
Bravo, vous aurez neuf.

{Refrain:}
On n'est pas des imbéciles
On a mêm' de l'instruction
Au lycée Pa-pa...
Au lycée Pa-pil...
Au lycée Papillon.

Elève Peaudarent ?... Présent !
Vous connaissez l'histoir' naturelle ?
Eh bien, dites-moi c'qu'est un ruminant.
Et puis citez-m'en... et je vous rappelle
Que je donne dix quand je suis content.
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
Les ruminants sont des coléoptères
Tels que la langouste ou le rat d'égout,
Le cheval de bois, le pou, la bell'-mère...
Qui bav' sur sa proie et pis qu'aval'tout.
Très bien répondu,
Je vous donn' huit... pas plus...

{Refrain}

Elève Isaac ? ... Présent
En arithmétique' vous êt's admirable,
Dites-moi ce qu'est la règle de trois
D'ailleurs votre pèr' fut-il pas comptable
Des films Hollywood ... donc répondez-moi.
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
La règle de trois ? ... C'est trois hommes d'affaires
Deux grands producteurs de films et puis c'est
Un troisièm' qui est le commanditaire
Il fournit l'argent et l'revoit jamais.
Isaac, mon p'tit
Vous aurez neuf et d'mi ! ...

{Refrain}

Elève Trouffigne ? ... Présent !
Vous êtes unique en géographie ?
Citez-moi quels sont les départements
Les fleuv's et les vill's de la Normandie
Ses spécialités et ses r'présentants ?
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
C'est en Normandie que coul' la Moselle
Capital' Béziers et chef-lieu Toulon.
On y fait l'caviar et la mortadelle
Et c'est là qu'mourut Philibert Besson.
Vous êt's très calé
J'donn' dix sans hésiter.

{Refrain}

Elève Cancrelas ? ... Présent !
Vous êt's le dernier ça me rend morose.
J'vous vois dans la class' tout là-bas dans l'fond
En philosophie, savez-vous quèqu'chose ?
Répondez-moi oui, répondez-moi non.
Monsieur l'Inspecteur,
Moi je n'sais rien par cœur.
Oui, je suis l'dernier, je pass' pour un cuistre
Mais j'm'en fous, je suis près du radiateur
E puis comm' plus tard j'veux dev'nir ministre
Moins je s'rai calé, plus j'aurais d'valeur,
Je vous dis : bravo !
Mais je vous donn' zéro.

{Refrain}

Elève Legateux ? ... Présent !
Vous êt's le meilleur en anatomie ?
Répondez, j'vous prie, à cette question
Pour qu'un être humain puiss' vivre sa vie
Quels sont ses organ's, quell's sont leurs fonctions ?
Monsieur l'Inspecteur,
Je sais tout ça par cœur.
Nous avons un crân', pour fair' des crân'ries
Du sang pour sentir, des dents pour danser
Nous avons des bras ...
C'est pour les brass'ries
Des reins pour rincer
Un foie pour fouetter.
Bien. C'est clair et net
Mais ça n'vaut pas plus d'sept.

{Refrain}

j'ai révisé Gaby .... mais toi t'as pas répondu au mystere Espâno-normand ????

alors la carmen que devient elle ????[b]

Pistou elle est normande !!!!!

Marie Bizet
J'y vas-t-y, j'y vas-t'y pas

Paroles et Musique: F.Pearly, P.Chagnon, A.Willemetz, J.Darieux 1942
© 1942 - Editions Pearly

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J'va t'dire l'histoire d'une jolie fille normande
Qui s'appelait Marie-Lou
Et qu'était futée comme tout
Quand à l'école il fallait qu'elle se rende
Son copain le grand Lucas
Lui disait : on n'y va pas
Faisons l'école buissonnière
J'nous baignerons dans la rivière
Au lieu d'apprendre tes leçons
On va prendre des papillons

J'y vas-t-y, j'y vas-t'y pas
J'y vas-t-y ?
Y faut-y, y faut-y pas
Y faut-y ?
Si j'y vas pas le maitre y m'verra
Et puis chez moi tout le monde y saura
Mais j'va m'embêter là-bas
Si j'y va
Tous les petits oiseaux chantaient
N'y vas-pas
Quel beau soleil qu'il dit gars Lucas
Viens donc cueillir des lilas
Marie-Lou c'est-y comme ça
L'école on y lit, aux lilas on lit pas
J'y va ! J'y va !

A présent elle ne ratait point une danse
Au bal les gars l'invitaient
Et pour elle se disputaient
Elle avait d'allure et de la cadence
Et l'gars Lucas qu'en était fou
Y a dit : t'aime-t-y les bijoux ?
Si tu veux viens demain toute seule
J't'attendrais derrière la meule
Dans l'pré où l'père Léonor
J'te donnerais une bague en or

J'y vas-t-y, j'y vas-t'y pas
J'y vas-t-y ?
Y faut-y, y faut-y pas
Y faut-y ?
Si j'y vas pas quoi donc y dira ?
Mais si j'y va, quoiqu'c'était-y qui m'fera
La mère elle dit toujours prends garde aux gars
J'voudrais bien savoir la d'ssous quoiqu'y a
Y m'donnera la bague si j'va là-bas
Jl'aurons point si j'y va pas
Marie-Lou se dit comme ça
Moi les bijoux j'aime ça
Tant pis j'y va, j'y va, j'y va... J'y va

Le lendemain leurs deux pères discutèrent
A ton gars, qu'est que tu donneras toi ?
Bah ! tant pis quoi qu'elle aura
Enfin y sont passés d'vant Monsieur l'Maire
Si après des bons guelletons,
Des danses et des belles chansons
Chez eux y d's'habillèrent
Et soufflèrent la lumière
Elle monta dans un grand lit
Et dit quand Lucas se dit :
J'y vas-t-y, j'y vas-t'y pas
J'y vas-t-y ?
Tu viens t-y, tu viens t-y pas ?
Qu'elle y dit
Comme y disait plus rien dans les draps
Marie-Lou dit prend moi dans tes bras
Mais à ce moment là en bas quel fracas
Tous les invités appelaient l'gars Lucas
Et sans doute pour qu'il n's'endorme pas
Lui chantait ce refrain là :
T'y vas-t-y, T'y vas-t'y pas Lucas
Si t'y vas pas, si t'y vas pas Lucas j'y va !
T'y vas-t-y, T'y vas-t'y pas Lucas
Si t'y vas pas, si t'y vas pas Lucas j'y va !
Oh !

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je continuerais que lorsque j'aurais obtenu le silence ..
Pistou ... tu passeras chez le Proviseur a la récré ...

Petite Plume, c'est pas bien !!!!!! copieuse je l'avais déjà mis, vais me plaindre à la maîtresse NAN

Gaby t'énerve pas, mais les copines comme moi on a des araignées au plafond non non me tape pas dessus

On en redemande, mais on a bien de le droit de faire une tite aparté non