Malgré la luminosité ambiante défaillante, Frédy nous gratifie une fois de plus d'un reportage de qualité.
Comme vous l'aurez compris, pour la dernière randonnée de Robert avant son départ pour l'Ardèche, nous aurons été particulièrement gâtés en matière d'oiseaux (canards, cygnes, foulques, poules d'eau, cormorans, mouettes, bernaches …).
Selon un usage maintenant bien établi, voici des compléments au post de Frédy auquel j'adresse tous mes compliments.
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Afin de pouvoir gagner les zones boisées, nous devons traverser une partie d'ACQUIGNY.
Etant à trois, la sécurité routière nous oblige à marcher sur le côté droit de la route.
Les trottoirs sont étroits et les chiens sont tenus en laisse :
Nous passons devant le château dont l'entrée est bardée de panneaux
Nous longeons l'Eure et passons près d'un pré en contrebas, du fond duquel arrive en courant et en brayant
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Nous entrons enfin en forêt.
Au bout d'un certain temps, nos compagnons à quatre pattes nous font comprendre qu'ils ont soif
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Puis survient l'instant de vérité, il n'est pas normal que nous cheminions à l'horizontale alors que nous sommes censés emprunter une grimpette plutôt longuette.
Frédy aperçoit une "ligne de plus grande pente" (thalweg potentiel) qui nous oblige à regagner le droit chemin.
Ulysse et Aska nous devancent comme d'habitude, puis Robert.
Frédy et moi-même, photographes de service, faisons semblant d'être à la traîne.
Une dernière fois (avant la prochaine) Ulysse me nargue quant à sa facilité de gravir les chemins pentus
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Nous continuons dans les chemins forestiers encore boueux, croisant
Ici, une mare
Là un arbre déraciné par un coup de vent récent
Là encore, des langues de bœuf
Au hasard d'un tournant, nous tombons sur un parterre de plantes d'un vert clair.
Frédy en saisit une "macro" remarquable. Pour ma part, je préfère prendre une vue d'ensemble à l'intention de notre botaniste préférée, Pistou
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Nous sommes amenés à traverser la route.
Frédy et Robert prennent la précaution qui s'impose
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Nous entrons dans les faubourgs d'Heudreville (Annie y a une amie de son ancien groupe de patchwork), mais allons bifurquer sur la rive droite de l'Eure sur le parcours de l'ancienne voie ferrée
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Un pont métallique nous permet d'admirer plusieurs couples de colverts.
Voici l'une des canettes
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L'ancienne voie ferré aboutit à un vestige du Plan Marshall
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Nous longeons divers étangs peuplés de nombreux oiseaux
Le dernier d'entre eux est immense.
Nous y passerons de longues minutes tellement le spectacle des cygnes, des canards et surtout des bernaches est un moment privilégié.
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Ulysse et Aska s'en donneront à cœur-joie.
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La complicité de Frédy et d'Ulysse me surprendra toujours Si ce n'est pas de la rage, c'est de l'amour …
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Frédy cible un cygne, ciblant lui-même Ulysse.
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Les cygnes sont tous aussi majestueux les uns que les autres
Ma préférence pour celui-ci, lequel me fait penser à Lohengrin (Bonjour Céline)
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Cerise sur le gâteau, la girouette de service, une fois n'est pas coutume en cuivre
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Vient alors le moment de se quitter.
Au moment d'une collation salutaire, Aska semble nous saluer en secouant sa tête, ce qui me permet de saisir un effet cinétique.
Au revoir Christbriz et Robert,
Au plaisir de vous lire bientôt