Il faisait soleil ce matin chez moi. Vers midi, ça s’est un peu couvert, mais le temps est resté stable et finalement agréable : pas de vent, une température de l’ordre de 8 ou 9 degrés. Idéal pour cette balade faite en groupe aujourd’hui. Le rassemblement cette fois était au pied du château d’eau de Saint Lubin, près de Louviers. La promenade prévue était de 13 km essentiellement dans la forêt de Bord.
Comme dans beaucoup d’endroits, les lignes électriques et téléphoniques n’ont pas été enterrées et ça donne un fatras tel qu’on dirait qu’ils ont tendu un filet pour empêcher les maisons de s’envoler :
Presque à l’heure, le groupe se met en marche. Nous étions exactement 50 à prendre le départ aujourd’hui. Nous étions le même nombre à l’arrivée, bien entendu :
Après quelques centaines de mètres devant de magnifiques propriétés, nous atteignons la forêt :
La forêt de Bord est une forêt civilisée, parfaitement débroussaillée et où il ne doit pas y avoir de grands animaux. Je pourrai revenir me balader là avec Ulysse :
Plusieurs fois, nous traversons des clairières :
On a parcouru environ deux kilomètres en descente. Evidemment, il a fallu remonter. La pente était nettement plus raide. Le groupe s’est alors étiré considérablement, chacun grimpant à son rythme. Arrivés en haut de la côte, les gens du peloton de tête se sont arrêtés afin de réaliser un regroupement, auprès de cette mare :
L’avantage d’être devant le groupe, c’est de voir le paysage à traverser alors qu’il n’y a personne dedans :
Comme d’habitude à l’Iton-Rando (c’est le club de randonneurs), tout finit par des gâteaux. Les dames font concours et du coup la table est bien fournie :
J’ai les pieds un peu lourds ce soir, mais je suis ravi : pendant les 3 heures qu’a duré cette balade, on a respiré un air d’une qualité extraordinaire. De plus, je me suis fait des amis dans ce groupe de marcheurs et nous avons maintenant plaisir à nous retrouver ensemble.
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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy