ballade a velo en vallée d'Eure

Ce matin il faisait frais, tres frais J'ai vite endosséle blouson coupe vent. Il est d'un beaujaune fluo ça tombait bien dans la campagne il y avait de la brume. Départ 8 heures 20 je quitte EVREUX par les derriere -rue d'Argence pour les connaisseurs. Une petite cote puis une descente. Le vélo c'est SENSUEL le vent me caresse les cuisses. Je traverse GRAVIGNY apres 6 kms de route je suis au pied de la cote du BOULAY MORIN. L'ancienne cote 2kms à 6% Je mets le 34x24 pour les techniciens et je monte 10kmsheure c'est bien. Je gagne IRREVILLE
vOICI SON EGLISE.


Une grande descente et voici CAILLY. Au café des pecheurs je tourne à droite pour emprunter une toute petite route bordée de foret

Cette charmante petite route me mene à mon manoir de la CROIX ST LEUFROY

Un petit morceau de route départementale et voici AUTHEUIL AUTHOUILLET Dans le village je prends à nouveau une petite route. Celle ci serpente dans la vallée. Je passe sur l'EURE

Pour ma collection de photos de lavoirs je m'arrete à nouveau

Il est temps de monter la cote menant d'Hardencourt à Gauciel pour revenir à la maison;

Je rentre il est 11 heures 10. J'ai effectué 47 kms à 18 kms heure. Heureusement j'étais seul j'ai fait 9 arrets photos les copains auraient grogné. maintenant

A vélo, tu fais sans doute dans le même temps 3 ou 4 fois plus de distance que moi à pied.

Bravo pour ce joli reportage.

A velo nous allons plus loin c'est vrai mais nous perdons la proximité avec la nature -fleurs, insectes. Par contre nous sommes plus en contact avec la vie. Nous rencontrons plus facilement les hommes et les femmes dans les villages.

papytonvelo a écrit:

Par contre nous sommes plus en contact avec la vie. Nous rencontrons plus facilement les hommes et les femmes dans les villages.

Je crois que tu te trompes. Parcourant plus de distance, tu rencontres plus de monde, mais nous aussi rencontrons des gens, y compris par exemple des gens qui sont dans leurs jardins et qui discutent avec nous au passage. Mais, c'est vrai, nous en rencontrons moins.