Saint Pierre de Bailleul

Le circuit de Saint Pierre de Bailleul est l'un des plus beaux que je connaisse dans la région. Il offre de très jolis panoramas et passe dans des villages superbes. En voici le tracé :

Saint Pierre de Bailleul StPierreDeBailleul

C'est parti. 3 dames charmantes m'accompagnent :

Dans un jardin, un laurier-cerise :

Il y a quelques mois, il y avait dans ce lavoir une grande quantité de poissons. Il n'y en a plus un seul aujourd'hui. Que sont devenus ces pauvres animaux ?

Sortant du village de Saint Pierre, nous entamons une première courte montée :

Nous voyons plusieurs champs de maïs qui ont un point commun : ils sont tout petits. C'est probablement dû à la sécheresse de cette année :

Néanmoins, il a plu ce matin et il y a par endroits de belles flaques d'une eau bien fraîche. Ulysse se dépêche d'en profiter :

Auprès d'un autre lavoir, le groupe de marcheurs : Catherine, Michèle, Françoise et moi :

Dans un jardin, nous sommes intrigués par un arbuste aux fleurs jaunes. Mais en fait, ce sont de grandes marguerites qui ont poussé dans le feuillage de l'arbuste :

Ceci, ce sera pour ma collection de portails ridicules :

A Dormont, nous avons loupé un croisement. Du coup, nous passons dans une rue inhabituelle où nous admirons les maisons. Outre d'être belles, elles bénéficient d'un joli panorama sur la vallée de la Seine :

Dans un jardin, un magnolia a encore quelques fleurs :

Nous sommes descendus jusqu'au Goulet, nous entamons la remontée, en pente douce pour commencer. Tout au long de la balade, ceux des chemins qui ne sont pas bitumés ont tous été récemment débroussaillés et la marche y est facile. Merci à ceux qui s'en sont chargés :

Au bord du chemin, un tilleul très vieux, 150 ou 200 ans. Sur la photo, Ulysse donne la proportion :

Nous passons près du centre équestre du Goulet, où se prépare un important concours hippique. Chevaux et cavalières à l'entraînement :

Nous arrivons à Saint-Etienne sous Bailleul alors que le ciel est complètement dégagé. L'usine a une spécialité très spéciale : elle fabrique des peaux de saucisson qu'elle vend, vides, à des bouchers, charcutiers et autres producteurs de saucisson :

Cette maison, en bas du coteau, je l'adore :

Nous entamons la dernière montée. Elle est raide et un peu longue. Je trouve un bâton pour m'appuyer et, finalement, je grimpe assez facilement :

Je fais quand même des pauses. Au cours de l'une d'elles, nous remarquons sur une ortie un groupe de chenilles noires :

Quelqu'un m'a dit que cette fleur sauvage, c'est de l'origan (http://fr.wikipedia.org/wiki/Origan). Il faut faire sécher la fleur et la répandre en poudre sur une pizza :

Tout au long de la balade, nous avons vu de splendides maisons. On dit que l'envie est un vilain péché, mais quand même, en voyant ça…

Quelques minutes plus tard, nous voilà revenus à nos voitures. A cause du mauvais temps du matin, nous avions prévu un peu de fraîcheur. Mais il a fait beau et, tous, nous avons eu trop chaud. Du coup, nous sommes pressés de rejoindre la douche.

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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Je te l'ai toujours dit, Frédy : pluie le matin et rando par beau temps l'après-midi. Comme ça, je trouve tout au long du parcours de belles flaques d'eau fraîche. Tu t'en souviendras ?

En tout cas, elle me semble bien profonde, cette flaque, Ulysse !
Très jolie promenade, Fredy, tu as vraiment eu de la chance avec le temps.

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