Semaine du 26 au 1 Février

bonjour
quel vilain temps ce matin, une brouillasse !!
robert devait aller en journée rando,raquette , avec repas auberge, du coup il a préféré son lit !!

moi je suis en patisserie, et cuisine, un boeuf bourguignon pour2 jours, ainsi demain pas de cuisine; !!

merci errance, nous avons rencontré pierre tchernia en bretagne, dans un village de la region que tu donnes,y a bien longtemps !
il est entré dans la meme charcuterie que nous, très gentil, mais discret, un homme grand , costaud; il doit avoir au moins 90 ans maintenant ;
nous etions en visite touristique , cette année, là on a eu un super beau temps;!
nous visitions PONT AVEN et toute cette cote magnifique , sauvage et il me semble bien que c etait la charcuterie de nevez , dont on avait acheté vite fait un pique nique
pour manger sur la plage ; que c est loin déjà !! on avait ramené les galettes, charcuterie et bons produits bretons;


un coin meconnu et vraiment a faire, tout a coté, c est la pointe trevignon !!

bonne journée


un ptit bout de ma charlotte ananas ??
pour les 67 ans de robert, j ai enfin réussi cette charlotte que je ratais souvent;!!

Christbriz a écrit:

!
il est entré dans la meme charcuterie que nous, très gentil, mais discret, un homme grand , costaud; il doit avoir au moins 90 ans maintenant ;

On peut lire dans la presse "people" sur le Web des infos alarmantes concernant Tchernia.
Bien évidement je ne sais rien....
La seule info apparemment un peu fiable, il vivrait aujourd'hui dans une maison médicalisée.

oui errance , il est en maison medicalisée
mais contrairement a ce qui a été dit sans fondement, (toujours pareil les mauvaises rumeurs et cette presse people qui nous detruit et nous pourrit la vie quotidienne))

qu il etait soi disant isolé abandonné, eh bien pas du tout, il a fait répliquer par la radio qu il etait bien entouré et aimé de sa famille qui lui rende visite,
et il est resté dans sa région ;



et qd on pense que tous ces journaux sont vendus par milliers , que ce soit voici, ici paris et toute la suite, mais le plus desastreux c est que les mauvaises rumeurs passent sur internet a foison, il serait temps qu il y ait des commissions de censures, de controle surtout pour les graves evenements qui n ous ont touché car depuis , la propagande pour les defenseurs des jiadhistes se multiplie, j ai entendu sur europe qu enfin le gouvernement va decider d un controle serieux sur internet et filtrer toute cette propagande, on devrait faire autant avec la presse poubelle, qui est libre bien sur, mais qui ne devrait pas publier de fausses informations;

repos cet après midi il pleuviasse , un espèce de crachin desagréable ;;

bon après midi ;

bonsoir ,je vois que ces messieurs ont eu leur dose ,et bien moi grippe carabinée ,depuis plus d'une semaine ,fiévre qui décroche ps et toux ,ce soir je suis en dessous de zéro.Je n'ai pas vraiment la tête a commenté les infos ,mais bon comme tout passe je pense que celà va aller vers le mieux.

bon week end àvous tous ,c'est la BD sur angoulême mais je n'irai pas c'est sûr<.

Salut à tous,
Temps que je n'aime pas …du mistral ….avec des nuages sur la mer….et un ciel voilé…..tous réunis… 8°
Depuis bientôt 15 jours je me lève de bonne heure , j'allume la télé en me levant…tennis oblige ,et ça se passe  en Australie;;;
Toujours des problèmes de pub avec l'ordi …..j'ai réussi (après pas mal de recherche sur les forums) a en enlever un petit programme
qui s'ouvrait dés que l'index passait dessus , ou j'ai pêché ce truc?????
Bon assez avec mes emmerdes…
On ne peut pas dire que l'activité de ce forum est florrissante ,Gus écrit nous de quoi nous instruire….de mon côté dés que mon ordi ne ramera plus je mettrai des photos…..coco est à court d'inspiration (malgré mes encouragements) Bernadette est ensevelie sous la douce
neige lorraine … CdL est à la baignade ….Christz ….à la patisserie….et uston chez le véto…..Passiou enquête sur sa disparition…et Fredy se balade dans les rédacs des canards …..
      moi j'ai la rate qui s'dilate ,j'ai le foie bien trop gras…..les guiboles qui flageolent …..

Salutatous,

Max, à ta demande, je profite de ce jour anniversaire pour vous infliger une piqûre de rappel.

« Bapu » (« père »), « Mahatma » (« grande âme »)

Mohandas Karamchand Gandhi est né à Porbandar dans les Indes Britannique le 2 octobre 1869, il est  mort assassiné à Delhi le 30 janvier 1948.

Théoricien du satyagraha, de l'ahimsa que nous définissons comme de la  " non-violence". Il contribua à conduire l'Inde à l'indépendance. Gandhi a inspiré des personnalités comme Albert Schweitzer, Martin Luther King, Nelson Mandela, le dalaï-lama.
Il avait  fait des études de droit en Angleterre pour devenir avocat.
En Afrique du Sud, il entreprit des actions pour la dignité humaine et la justice sociale, basée sur la désobéissance civile non violente.
Il milita en Inde pour la libération des femmes indiennes, pour la fraternité entre les communautés de différentes religions pour une fin de l'intouchabilité pour l'autosuffisance et bien entendu pour l'indépendance de l'Inde.
Pour ses combats il fit six ans en prison.
Aujourd'hui, il est reconnu comme le Père de la Nation son anniversaire est une fête nationale, c'est aussi la « Journée internationale de la non-violence »
Sa vie est inverse de celle des  fanatiques de l'Islam d'aujourd'hui.
Vous avez peut-être regardé le très médiocre spot anti-Islamique que vient de diffuser les services de l'état. Je ne connais pas le nom de l'abruti réalisateur, normalement un élève de première année d'école de cinéma n'aurait pas osé les erreurs de ce spot !
On devrait diffuser gratuitement sur le Web l'excellent film de Richard Attenborough. Mais peut-être que nos jeunes auraient de la peine à croire qu'un homme comme Gandhi ait existé, qu'il mena un combat obstiné pour la vérité, la non-violence, la justice.

Gus

Les femmes sont de plus en plus belles !
Marie Gillain, 39 ans deux enfants.
lire à cette adresse : http://www.huffingtonpost.fr/2015/01/28/marie-gillain-nue-seins-lui-photos-couverture-topless_n_6561096.html?utm_hp_ref=mostpopular

Bonjour à tous.

Marie, je suis dans le même état que toi. Ce matin, vers 6h30, je suis allé chez mon médecin. Il m'a fait une ordonnance longue comme le bras, avec notamment des antibiotiques. Revenu chez moi vers 7h30, je me suis rallongé et rendormi un moment. Puis je suis allé au labo pour une prise de sang et à la pharmacie. Je me suis ensuite rallongé et j'ai encore dormi un peu.

Ce matin, il y avait de la neige sur la voiture. Les routes étaient glissantes. Là, il fait 1° et il neige, une neige très humide qui ne tiendra pas. Le vent est assez fort. La pression est très basse à 978 hPa, ce qui ne présage rien de bon.

Je vous souhaite une bonne journée.

Fredy a écrit:

Ce matin, vers 6h30, je suis allé chez mon médecin.

6h30 ! ! ! , le mien ouvre son cabinet à 9h !

Il reçoit tous les matins sans rendez-vous. Il ouvre sa salle d'attente vers 6h45 et il y accueille des clients jusqu'à 10h00. Le dernier arrivé attend environ deux heures. Je choisis d'être plutôt dans les premiers. Mais l'idéal serait un médecin qui donne des rendez-vous avec des délais assez courts et qui se tient aux horaires.

Je ne sais pas s'il existe une formule idéale...
Ici le cabinet médical est ouvert six jours sur sept de 9 h à 17 h 30, uniquement sur rendez-vous.
Nous avons quatre médecins et une infirmière le matin de 7 h à 9 h, + 3 autres infirmières à domicile.
Chaque médecin assure une présence 4 jours par semaine et un jour de visite à domicile.
Je pense que nous bénéficions d'une situation satisfaisante pour un canton rural.
Dans certaines campagnes la situation est aujourd'hui dramatique, je pense notamment à l'Auvergne, et chez moi en Aveyron-Lozère.

Gus

Oui, ce n'est pas mal. Les rendez-vous sont ils obtenus rapidement et les horaires respectés ? Je me suis enguirlandé un jour avec une femme médecin car j'avais pris le premier rendez-vous de la journée à 9h, mais elle est arrivée à 9h05 et m'a encore fait attendre 15 minutes.

Re ,
Fredy ici le toubib c'est 8h sans rendez vous ,dans mon cabinet ils sont deux et se remplacent au cabinet ou en visite !
Sinon dans le village il y a une bonne quinzaine de généraliste.
Gus il y à bien longtemps j'ai lu -Cette nuit la liberté- de Dominique Lapierre et Larry Collins-  Gandhi a oeuvré pour la paix après le coup de crayon meurtrier que Mountbatten a tracé pour partager l'Inde en trois pays……..Il en est mort assassiné….
Ce matin le forum a repris de la vigueur……
Ici le ciel est dégagé et le mistral est bien présent,ce n'est pas violent mais suffisant pour te glacer avec 9° sous abris!
J'ai mis un thermomètre au soleil à l'abris du vent 24°……
       la neige ne tiendra pas
PS Gus je suis sur que la jolie dame de la photo n'a pas allaité ses enfants…..

max a écrit:

PS Gus je suis sur que la jolie dame de la photo n'a pas allaité ses enfants…..

Max, j'avoue ne pas savoir en ce qui concerne cette dame. Si autrefois on disait que pour garder une belle poitrine, il ne fallait pas allaiter, je peux t'assurer qu'aujourd'hui les choses ne sont plus pareilles. Les femmes prennent moins de poids quand elles sont enceintes, elles sont plus sportives, plus musclées, etc...

Salutatous,

Hier soir, j'ai lu un article bouleversant, un témoignage saisissant dans le journal "Le Monde" . Il s'agit du "procès-verbal"  de la dernière exécution capitale en France. Le 9 septembre 1977, Hamida Djandoubi, coupable du meurtre de sa compagne, fut guillotiné à la prison des Baumettes. Juste après l'exécution, Monique Mabelly commise d'office pour y assister, consigne par écrit ce qu'elle a vu et ressenti.
Je vous copie ici un large extrait de ce  témoignage, l'intégralité de l'article est à lire à cette adresse:

http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/10/10/la-derniere-execution-en-france_3492601_3232.html

Le 9 septembre 1977.

... A 15 heures, Monsieur le Président R… me fait savoir que je suis désignée pour y assister.
....
On ouvre la porte de la cellule. J'entends dire que le condamné sommeillait, mais ne dormait pas. On le "prépare". C'est assez long, car il a une jambe artificielle et il faut la lui placer. Nous attendons. Personne ne parle. Ce silence, et la docilité apparente du condamné, soulagent, je crois, les assistants. On n'aurait pas aimé entendre des cris ou des protestations. Le cortège se reforme, et nous refaisons le chemin en sens inverse. Les couvertures, à terre, sont un peu déplacées, et l'attention est moins grande à éviter le bruit des pas.

Le cortège s'arrête auprès d'une des tables. On assied le condamné sur une chaise. Il a les mains entravées derrière le dos par des menottes. Un gardien lui donne une cigarette à bout filtrant. Il commence à fumer sans dire un mot. Il est jeune. Les cheveux très noirs, bien coiffés. Le visage est assez beau, des traits réguliers, mais le teint livide, et des cernes sous les yeux. Il n'a rien d'un débile, ni d'une brute. C'est plutôt un beau garçon. Il fume, et se plaint tout de suite que ses menottes sont trop serrées. Un gardien s'approche et tente de les desserrer. Il se plaint encore. A ce moment, je vois entre les mains du bourreau, qui se tient derrière lui flanqué de ses deux aides, une cordelette.

Pendant un instant, il est question de remplacer les menottes par la cordelette, mais on se contente de lui enlever les menottes, et le bourreau a ce mot horrible et tragique : "Vous voyez, vous êtes libre !…" Ça donne un frisson… Il fume sa cigarette, qui est presque terminée, et on lui en donne une autre. Il a les mains libres et fume lentement. C'est à ce moment que je vois qu'il commence vraiment à réaliser que c'est fini – qu'il ne peut plus échapper –, que c'est là que sa vie, que les instants qui lui restent à vivre dureront tant que durera cette cigarette.

CET HOMME VA MOURIR, IL EST LUCIDE

Il demande ses avocats. Me P. et Me G. s'approchent. Il leur parle le plus bas possible, car les deux aides du bourreau l'encadrent de très près, et c'est comme s'ils voulaient lui voler ces derniers moments d'homme en vie. Il donne un papier à Me P. qui le déchire, à sa demande, et une enveloppe à Me G. Il leur parle très peu. Ils sont chacun d'un côté et ne se parlent pas non plus. L'attente se prolonge. Il demande le directeur de la prison et lui pose une question sur le sort de ses affaires.
La deuxième cigarette est terminée. Il s'est déjà passé près d'un quart d'heure. Un gardien, jeune et amical, s'approche avec une bouteille de rhum et un verre. Il demande au condamné s'il veut boire et lui verse un demi-verre. Le condamné commence à boire lentement. Maintenant il a compris que sa vie s'arrêterait quand il aurait fini de boire. Il parle encore un peu avec ses avocats. Il rappelle le gardien qui lui a donné le rhum et lui demande de ramasser les morceaux de papier que Me P. avait déchirés et jetés à terre. Le gardien se baisse, ramasse les morceaux de papier et les donne à Me P. qui les met dans sa poche.

C'est à ce moment que les sentiments commencent à s'entremêler. Cet homme va mourir, il est lucide, il sait qu'il ne peut rien faire d'autre que de retarder la fin de quelques minutes. Et ça devient presque comme un caprice d'enfant qui use de tous les moyens pour retarder l'heure d'aller au lit ! Un enfant qui sait qu'on aura quelques complaisances pour lui, et qui en use. Le condamné continue à boire son verre, lentement, par petites gorgées. Il appelle l'imam qui s'approche et lui parle en arabe. Il répond quelques mots en arabe.

Le verre est presque terminé et, dernière tentative, il demande une autre cigarette, une Gauloise ou une Gitane, car il n'aime pas celles qu'on lui a données. Cette demande est faite calmement, presque avec dignité. Mais le bourreau, qui commence à s'impatienter, s'interpose : "On a déjà été très bienveillants avec lui, très humains, maintenant il faut en finir." A son tour, l'avocat général intervient pour refuser cette cigarette, malgré la demande réitérée du condamné qui ajoute très opportunément : "Ça sera la dernière." Une certaine gêne commence à s'emparer des assistants. Il s'est écoulé environ vingt minutes depuis que le condamné est assis sur sa chaise. Vingt minutes si longues et si courtes ! Tout s'entrechoque.
............
La demande de cette dernière cigarette redonne sa réalité, son "identité" au temps qui vient de s'écouler. On a été patients, on a attendu vingt minutes debout, alors que le condamné, assis, exprime des désirs qu'on a aussitôt satisfaits. On l'avait laissé maître du contenu de ce temps. C'était sa chose. Maintenant, une autre réalité se substitue à ce temps qui lui était donné. On le lui reprend. La dernière cigarette est refusée, et, pour en finir, on le presse de terminer son verre. Il boit la dernière gorgée. Tend le verre au gardien. Aussitôt, l'un des aides du bourreau sort prestement une paire de ciseaux de la poche de sa veste et commence à découper le col de la chemise bleue du condamné. Le bourreau fait signe que l'échancrure n'est pas assez large. Alors, l'aide donne deux grands coups de ciseaux dans le dos de la chemise et, pour simplifier, dénude tout le haut du dos.

Rapidement (avant de découper le col) on lui a lié les mains derrière le dos avec la cordelette. On met le condamné debout. Les gardiens ouvrent une porte dans le couloir. La guillotine apparaît, face à la porte. Presque sans hésiter, je suis les gardiens qui poussent le condamné et j'entre dans la pièce (ou, peut-être, une cour intérieure ?) où se trouve la "machine". A côté, ouvert, un panier en osier brun. Tout va très vite. Le corps est presque jeté à plat ventre mais, à ce moment-là, je me tourne, non par crainte de "flancher", mais par une sorte de pudeur (je ne trouve pas d'autre mot) instinctive, viscérale.

J'entends un bruit sourd. Je me retourne – du sang, beaucoup de sang, du sang très rouge –, le corps a basculé dans le panier. En une seconde, une vie a été tranchée. L'homme qui parlait, moins d'une minute plus tôt, n'est plus qu'un pyjama bleu dans un panier. Un gardien prend un tuyau d'arrosage. Il faut vite effacer les traces du crime… J'ai une sorte de nausée, que je contrôle. J'ai en moi une révolte froide.
.....

Salut à tous,
Gus à l'aube c'est dur à lire………je ne me souviens plus de quel bouquin sont tirés ces moments de vies ..les derniers..
Ranucci …... Buffet / Bontems ….c'est Badinter qui raconte??? j'ai lu ça il y a lomgtemps ……
La peine de mort c'est un soulagement pour les familles de victimes mais c'est une abimination pour ceux qui ont vu ça de prés…
Moi je suis contre depuis toujours….c'est moyenâgeux …..Les ricains sont des barbares.
Bon je vais faire un tennis ça va me changer les idées……

Pour ne pas commencer la journée que sur ce texte  si triste, je vous propose  :



et que pensez-vous de la belle chanson d'amour "Something" de G. Harrison par F. Sinatra ?

Bonjour tout le monde.

Excellent plaidoyer contre la peine de mort. Les discours de Badinter ont eux aussi été extraordinaires.

Oui, de ce point de vue, les Américains sont des barbares. C'est d'autant plus grave que leur système judiciaire conduit souvent à condamner par erreur et à exécuter des gens que l'on sait innocents. Ce pays où les armes de guerre sont en vente libre, ce sera bientôt les Etats Désunis.

Il fait 0° ce matin et il y a des traces de neige au sol. Le temps est bien maussade et nous fait bien regretter de n'être pas restés là-bas :

Fredy a écrit:

Oui, de ce point de vue, les Américains sont des barbares.

Oui, mais il ne faut pas oublier que le pays qui pratique le plus la peine de mort, c'est la Chine

bonjour merci gus je prefère nettement sinatra a vanessa paradis !!
affaire de gout,

dur dur , oui le texte  a lire sur la peine de mort. j y reviendrai

il pleut a lyon, ? eh il neigeote a 1 heure delyon , mais melée a la pluie, par contre c est tout blanc tout autour

demain un peu de raquettes encore sur le pilat ; la neige a augmenté en epaisseur,  la bas, on devrait pouvoir se regaler dans la poudreuse,

en attendant, bon appetit, bon dimanche

voici mon petit dessert pour ce midi
tropezienne revisitée a la chantilly a la citronnelle, dessous une nougatine et brioche toastée au beurre ;

Gus dis moi de qui est ce texte …..je suis sur de l'avoir lu  mais pour qui? Lombard??