Merci Frédy car Servimg qui fonctionne de manière capricieuse devient pénible.
Je vais devoir l'abandonner une fois pour toutes.
Cela dit en compliments et en complément à ton excellent reportage d'hier, voici quelques clichés :
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Il n'y a pas de doute, vous étiez (nous étions) partants, sous un soleil chaleureux.
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Nous ne nous lasserons jamais assez de ce lavoir à géométrie variable.
Comme tu nous l'avais fait remarquer, des vérins permettent d'en ajuster le plancher par rapport au niveau de l'Iton.
Le secret est de bien savoir les manœuvrer en synchronisation, car si de plus les planches sont savonnées, le risque est grand de voir le linge (et la lavandière) tomber à la dérive.
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Nous prenons le circuit à contre-courant du guide et de l'Iton, pour ne pas dire à rebrousse-poil (délit d'initiés)
L'un des aspects qui ne peut échapper aux randonneurs de tout poil, c'est le foisonnement de panneaux d'interdiction, parfois pour de louables mesures de sécurité, souvent par excès sécuritaire du droit de propriété.
Les chasseurs pour occuper le terrain, et donc "chasser" les promeneurs, ne sont pas avares d'affichages équivoques voulant barrer l'accès des passages légalement ouverts au public.
Où va se nicher l'ingéniosité dans l'amélioration du bon vieux (fil de fer) barbelé ? Non seulement, il faut que "ça" pique, il faut que "ça" coupe. [Boris VIAN aurait dit : faut que ça saigne !]
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Après avoir longé une papeterie industrielle moderne, nous arrivons dans une partie boisée. Les plantes se font rares dans le sous-bois, hormis cette touffe de fougère scolopendre.
Le dessous des feuilles en est très particulier, les "sores" (amas de sporanges produisant des spores)
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Sur la gauche, apparaissent les fameuses falaises. Rien à voir avec ETRETAT ou la Pointe du HOC.
Elles ne manquent cependant pas de charme sous le soleil.
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Nous traversons la VACHERIE et admirons les vannes de l'ancien moulin.
Un zoom sur les remous d'une eau "oxygénée" :
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Nous amorçons une grimpette dans la rue principale de la VACHERIE afin de nous diriger sur VERDUN.
Nous remarquons un aigle (pas trop) impérial.
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Nous aboutissons, après une grimpette plutôt longuette en forêt, au Hameau de VERDUN.
La mare, superbe à la belle saison, nous glace d'effroi.
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Annie et Frédy sont chaudement couverts, sauf Ulysse qui reste égal à lui-même.
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Nous redescendons vers AMFREVILLE-SUR-ITON et remarquons une maison qui gagnerait à être restaurée et deviendrait une pure merveille bucolique.
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Peu après avoir été inquiétés par des tirs répétés, qui s'avéreront provenir d'un ball-trap, nous retrouvons le premier de nos deux vieux amis :
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Le poney est particulièrement tendu de voracité, mais doux comme un agneau.
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Nous longeons de nouveau l'Iton et admirons l'entrée d'une ancienne cave médiévale.
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Enfin, tout est bien qui finit bien.
La tarte suisse ne manque pas d'un certain fumet.
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Au plaisir de vous avoir pour lecteurs
Annie et Danver