Le Sec Iton

Pour ce samedi 15 mai 2010 (Aïe ! ça me fait 65 ans…), j’ai proposé de parcourir le circuit du Sec Iton. Je pensais devoir faire imaginer aux participants comment sera l’Iton cet été, mais la réalité m’a précédé, on va le voir. En attendant, voici le circuit parcouru :

Il est 14 heures, tout les monde est au rendez-vous auprès de l’ancienne mairie. Nous serons donc 11 à faire ce parcours :

Surprise : à Gaudreville la Rivière, il n’y a déjà plus d’eau sous le pont :

D’ailleurs nous passons le premier gué sans utiliser la passerelle. Ulysse, qui a l’habitude de se baigner ici, en est tout dépité. Le temps est décevant. Alors que la matinée a été magnifiquement ensoleillée, l’après-midi est très nuageuse. Heureusement cependant, nous ne recevrons aucune goutte de pluie :

Après être passés auprès de la maison forestière (où Anita s’est faite agresser par un roquet qui n’a réussi qu’à lui pincer le pantalon !), nous voilà dans la forêt. C’est une forêt bien variée, avec de nombreuses essences différentes. On y voit du chêne et du hêtre, bien entendu, mais aussi du charme, du bouleau, des sapins et pins de différentes sortes, etc. Et tout ça est encore dominé par cette couleur vert tendre qu’on ne voit qu’au printemps :

Profitant d’une souche d’arbre, je mets mon appareil sur son petit trépied, et je fais la photo du groupe. A coté de moi, il y a Roland, puis Marie, Jean-Paul, Marc, Isabelle, David, Fabienne, Fabrice, Anita et Danielle :

Certains pins produisent des jeunes pousses qui paraissent comme des décorations de Noël :

La plupart des champs que nous longeons sont plantés de colza. L’odeur est forte désormais, je la trouve désagréable :

Nous voici aux Pertes de l’Iton. Les auguets (constructions de pierre dans la rivière) parviennent encore à éviter que l’eau n’aille entièrement dans le lit souterrain de la rivière. Un léger courant anime cette eau :

Devant une maison toute fermée, un avertissement :

Au Pont des Boscherons, il y a aussi de l’eau avec, là encore, un léger courant. Il en sera de même aux deux gués encore à passer. C’est donc entre le dernier gué et Gaudreville que l’eau disparaît entièrement :

Près de ce pont, un arbre assez rare : un marronnier produisant des fleurs roses :

Longeant un champ de blé, on peut voir toute une gamme de verts différents avec, au fond, une rangée de feuillus surmontée de résineux :

Au gué des Haisettes, encore un peu d’eau et un léger courant :

Le 15 janvier dernier, j’y avais fait cette photo :

Dernier chemin de cette balade, la rue des Murets à Gaudreville la Rivière. Curieusement, le groupe y est totalement silencieux, comme en complet recueillement :

Bref, nous arrivons quelques instants plus tard au parking. Chaleureusement, tout le monde m’a souhaité mon anniversaire, ce qui m’a vraiment fait un grand plaisir. Merci à toutes et tous. Encore une fois, Il y a eu une excellente ambiance.

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Les scientifiques lisent des tas de livres et disent ne rien savoir.
Les religieux lisent un livre et prétendent tout expliquer.
Dans la tête à Frédy

Ben pourquoi tu as enlevé l'eau du premier gué ? Tu ne voulais pas que je me baigne ?

Le petit roquet qui a attaqué Anita, tu aurais dû me le laisser. J'en aurais fait de la chair à pâté, moi, de ce ~#{[|`\^@] !

merci Fredy pour cette belle promenade la pancarte de la maison m'a beaucoup amusée il devrait repeindre le portail un peu rouillé

tu sais ou l'eau est partie? en charente on a ce genre de riviére qui les beaux revenus disparaissent mais on sait ou elles partent dans la roche

Oui, l'eau part dans un cours souterrain. Elle resurgit 6 kilomètres plus loin, à Glisolles.

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Dans la tête à Frédy

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