SEMAINE DU 28 MARS AU 3 AVRIL

Bonjour Chantal.

Bonjour tout le monde.

P... ! Déjà ! On arrive à la fin mars alors qu'on vient à peine de fêter la nouvelle année. Ça passe à une vitesse !

Un peu de brume ce matin, mais un beau soleil par dessus. Ça annonce sans doute une belle journée. La rando de cette après-midi devrait être bien.

A toutes et tous, je souhaite une...

Salutatous en ce lundi matin,

J’ai vu cette drôle de chose, hier dans un minuscule village du pays de Dinan. Aucune explication et, hélas, personne sur place pour me renseigner.

Mes lunettes 3D vont arriver !

En attendant, je pars en rando. Il fait très beau, quoiqu'un peu brumeux. Ca ne fait rien, on sera surtout en forêt.

Bonne après-midi.

Bonjour à tous,

Déprimant ce temps humide. Je me demande si Fredy a pu faire sa randonnée.

Voici Béni, le petit bonobo, héros du film Bonobos d'Alain Tixier, documentaire sur les singes protégés qui vivent dans l'ex Congo.

Petit coucou rapide, mes amis, il fait toujours aussi beau ici !
Comme il est beau ce petit singe !
Mes lunettes 3D sont en route, dès réception, je pourrai admirer les photos de Gus.
J'ai pas mal de choses à faire aujourd'hui, je ne sais pas si j'aurai l'occasion de repasser par ici, mais je vous envoie de gros bisous à tous.

bonjour,
après la pluie ce matin et hier, cet après midi un peu plus clair, les plantes sont contentes, elles reclamaient la soif.!!

je repars en cours de couture perfectionnement, et broderie; et ce soir répétition chorale ..
sinon rien de neuf, on arrive bientot en avril c est vrai que cela passe trop vite, comment faire ??

bonne soirée, meilleure santé a nos amis qui sont en douleur !!

bon vélo au temeraire comme fredy jacquot en vélo,

gus , a dinan cette soi disante sculpture, serait ce pour les enfants ,,?? , jeux de tobbogan ou le meme genre,
la prochaine fois que tu y retournes, essaies de glisser d un bout a l autre tu verras bien, si cela ne pique pas, ni n accroche pas, les enfants peut etre te suivront !!

Il a fait beau
Pour la rando.
Ils étaient huit
Pour me faire suite,
On est heureux,
C'est merveilleux.

Coucou les Amis, je vous ai un peu délaissés mais pas,oubliés.
Le petit forum a l'air de bien aller - Merci pour vos gentilles pensées - Mes douleurs sont- redevenues humaines... donc supportables...beaucoup de soins, mais je souris.
Pas de nouvelles de Mésange et de Roman.
Je monte me reposer - Je serai plus bavarde demain -
Douce nuit et plein de bisous à vous tous.

le petit bisou du matin

bisou Chantal

Bonjour tout le monde.

A part des courses ce matin, rien de prévu pour aujourd'hui. Le temps est mitigé, il paraît qu'il devrait pleuvoir.

Je vous souhaite une...

Bonjour les amis

Il fait doux, nous allons pouvoir oublier le chauffage et penser à nos maillots de bain et petites robes d'été

Pas grand'chose à raconter si ce n'est le quotidien de tout le monde .

Si vous avez envie d'une pointe d'humour, allez visiter le site suivant :

http://lemegasin.free.fr/

Très imaginatif, on passe un bon p'tit moment

Je vous souhaite une bonne journée à tous.

Très drôle ce site. merci Passlou.

Coucou tout le monde, bonne journée ! Toujours un soleil éclatant ici, vous allez croire que je fabule.
Passlou, j'ai bien ri avec ton site, merci !

Ici, le ciel est de plus en plus sombre. On va sans doute avoir un bel orage. Ulysse le sent probablement car il s'est allongé contre mes pieds.

Je reviens d'une cueillette : de la cive qui pousse à l'état sauvage. J'en ai rapporté plus de deux kilos. Encore un coup comme ça et on aura notre provision pour l'année. Nettoyée et coupée en petits morceaux d'un centimètre environ, on les met au congélateur. On les en sort ensuite directement pour les mettre dans une salade, un omelette ou tout autre plat qu'on veut agrémenter de ce délicieux condiment.

http://www.aujardin.info/plantes/ciboulette.php

Orage, dis-tu!
il tombe en ce moment chez nous!

absent aujourd'hui, nous étions "en ville" comme on dit-il ici,

Salut matutinal,


Hier, j’avais rendez-vous avec un éditeur, ou plutôt une directrice d’éditions, dire que cet entretien ne fut pas heureux, c’est peu, catastrophique est plus exact. Par nature, je suis assez calme, j’ai souvent soutenu une controverse acerbe, sans jamais avoir envie de claquer la porte, hier, j’ai claqué la porte et sans saluer. On dit qu’avec l’age les émotions s’éloignent, qu’on devient philosophe. Hier devant cette pimprenelle arrogante, j’ai eu quelques secondes presque envie de la gifler, je n’avais pas de mots pour lui renvoyer son arrogance. Après la surprise à écouter ses diktats, après avoir entendu sa bêtise triomphante m’expliquer ceci ou cela …je m’emballe, permettez-moi d’abord en deux mots de vous conter le pourquoi de cet entretien épouvantable.
Aucune prétention littéraire dans ma démarche, je ne suis pas écrivain, ni même écrivaillon refoulé. Sujet, verbe, complément, là s’arrête ma science littéraire, j’avoue même faire de lourde faute d’inattention, que je laisse passer ne me relisant jamais, après vingt ans de pratique du clavier, je tape toujours avec trois ou quatre doigts cherchant les touches.
Mes problèmes de dactylo n’ont rien à voir avec ma petite histoire, j’y reviens donc.
Beaucoup de gens écrivent leurs mémoires, j’avoue que ma vie ne mérite pas qu’on noircisse du papier à son sujet. J’ai pourtant pris la plume, pardon, le clavier, pour d’abord simplement noter une histoire de famille, enfin pas vraiment de famille, mais si proche et si chère. Du vivant de mon oncle, je ne connaissais pas sa dernière compagne, nous avons fait connaissance 25 ans après sa mort. Ils vivaient à des milliers de kilomètres d’ici, j’ai fait connaissance de sa compagne dans sa petite maison des bords de Rance là où elle passe sa retraite à peine à trente kilomètre de chez moi. Nous avons pris le thé, nous nous sommes observés, nous avons bavardé, nous avons repris du thé, du thé noir, du thé à la menthe, à la bergamote, du thé vert, blanc et finalement nous avons décidé en commun que le thé « Oolong » de Formose avait notre préférence.
L’alcool délie les langues, paraît-il, le thé aussi avec un gros avantage, il laisse l’esprit clair. Comme disait St Ex dans son histoire d’apprivoisement, après nos nombreuses dégustations, le temps était venu de nous ouvrir l’un à l’autre réellement. Maria de me raconter, une tasse à la main, un biscuit Lu de l’autre oubliant l’heure, la fraîcheur qui tombait, moi d’écouter surpris, étonné, puis stupéfait, abasourdi et émerveillé. Plus passionnant qu’un polar, plus fou qu’aucun roman, la vie ordinaire d’une femme mal partie dans la vie, loin si loin de tous les clichés, de tout ce que les écrivains, les scénaristes imaginent. Presque fébrilement, le lendemain de nos parties de thé, maladroitement je tapais ce que me racontait Maria. Au bout de quelques semaines j’osais lui monter, Maria se fâcha, « non, non et non tu ne vas pas écrire ! » j’osais même déposer sur le web mes premières notes, là elle me refusa sa porte. J’avais fait une grosse bêtise, promis juré, plus un mot sur le Web, mais à une condition, j’ai le droit de continuer à prendre des notes. Heureusement l’entremise d’un ancien collègue m’aida à la convaincre. À cette époque ma fille débutait son long calvaire, mes après midi avec Maria loin des angoisses de mon quotidien, représentait une échappatoire, les pages d’écriture qui suivaient m’apaisaient. Le volume des pages dans « Word » augmentait, 50, 100, 200, Maria me relisait, coupait, 200 pages redevenaient 150 et ainsi de suite. Le temps passa, Stella partie dans l’océan de l’éternité. Nous ne buvions plus de thé, plus de petit « Lu » à savourer au bord de l’eau, un an passa. Maria fit lire nos causeries à son ex-collègue, « ça ferait un bon bouquin ». Bien entendu Maria gronda, bougonna, querella et pour finir nous dit : « Vous êtes bien bêtes, personne ne s’intéressera ! ». Un matin je déposais huit grosses enveloppes à la poste, un mois passa, puis deux et trois, rien aucun retour…puis un mail, « nous avons lu votre texte, il a retenu notre attention, nous souhaiterions avoir quelques informations complémentaires…. », Puis peu après « nous aimerions vous rencontrer… »

Retour au début de ce billet, retour à la journée d’hier, je me retrouve face à face à une jeune femme pédante, impolie, qui sans ambages me dit n’avoir pas lu une ligne, juste « la note de lecture » d’une collaboratrice, me dit que l’histoire d’une méditerranéenne, qui vécut trente ans en Afrique pour choisir de s’installer à la retraite en Bretagne l’intéressait à condition de réécrire mon texte…. Faire le cœur du récit avec l’histoire d’une jeune femme plus que modeste qui choisit l’armée comme planche de salut à une époque plus que difficile pour s’ancrer enfin, en fin de vie, dans une terre d’asile etc.… -Je restais sans voix, puis calmement j’expliquais qu’il y avait erreur, le thème de mon texte, c’était la vie d’une femme militaire en Afrique oeuvrant dans des services un peu spéciaux, l’installation en Bretagne n’était qu’anecdotique. Elle m’interrompit, m’expliqua qu’elle me faisait une proposition, à pendre ou à laisser, mais qu’elle n’avait pas de temps à perdre en discutions.

Gus, cette femme est un petit chef sans intérêt. Laisse la tomber et reste dans ton idée. C'est TON livre, pas le sien.

L'envoi d'un manuscrit sur papier est une chose coûteuse, je l'ai évité. Beaucoup d'éditeurs font des recherches sur le net. Je leur ai envoyé mon texte avec les photos sous la forme d'un fichier pdf, par mail. C'est en envoyant au plus grand nombre possible que tu finiras par trouver l'éditeur qui convient. Et c'est gratuit.

Bonjour tout le monde.

Encore un matin gris, indécis. Je n'ai pas entendu la météo ce matin, on verra. Il y a rando en club cette après-midi, mais toujours dans la même région, à Acquigny. Je ne sais pas encore si je vais y aller. J'irai peut-être, seul avec Ulysse, randonner ailleurs. On verra.

En attendant, je vous souhaite une...