SEMAINE DU 8 AU 14 NOVEMBRE

bonsoir ;la nuit est tombée et la puie continue mais la journée a filé vitesse grandV ,j'ai fait plein de petites choses délaissées depuis quelques temps. fredy je comprends que tu ne sois pas sorti car là c'était vriament la cata. je vais voir ce livre gus car mon fils aime bien ce genre de documantation.L'an dernier pensant qu'un blaireau ou autre bestiole venait chez lui détruire lespoubelle il avait mis une boite piége pour récupérer la bête et ensuite la ramener loin dans la campagne mais sa surprise fut grande il avait attrapé une superbe chat dit forestier qui a filé vitesse grand V quand il a ouvert la cage ,il n'a même pas pensé à faire la photo tellement la bête était énorme et belle.

voilà ;juste un petit mot pour dire à tous les nouveaux qui se croit persécutés que celà n'a jamais été le cas ici ,sur chaque forum on peut trouver sa place ,même si pour certains la photo ,ou la musique ou la cuisine sont des sujets bateaux pour d'autres ce sont des sujets interessants et il faut juste un peu de compréhension pour vivre en bonne entente. Moi ce qui me choque c'est justement celà ,ne pas accepter ce que l'autre aime ,gus a lui ses billets ,scouby ces belles histoires de chats ,passlou nous régale avec humour et donne de bon lien ,drole de nana sa broderie et d'autres la peinture fredy la randos et la photo , coeur de lyon le cinéma ,et je crois que j'oublie pas mal de monde ,alors essayons de vivre en bonne entente et celà ira bien.Les forums ,c'est comme une famille avec ses coups de gueule et ses joies et celà ne devrait pas devenir un déversoir de bile.

pou ce qui est de joanie et de fredy ,je ne prendrai pas position ,juste parce que chacun sa maniére de réagir aux mots écrits ,et là je crois que nous ne pouvons qu'être lecteur sans se mêler du sujet.

Bonsoir tout le monde.

C'est une vraie tempête ce soir, avec un vent très fort et de la pluie. Mais, curieusement, il ne fait pas froid : 13 degrés actuellement. Dans le jardin, lorsqu'il accepte de sortir, Ulysse a peur de s'envoler !

Houuuuuuu!!! Et vlan ! Encore une leçon de morale ! J'y crois pas !

Je vous souhaite une bonne nuit.

Bonne nuit mes amis, ici aussi la tempête fait rage, mais la température est douce. Il n'y a pas qu'Ulysse à croire s'envoler, cela a failli m'arriver, quand je suis sortie nourrir les petits SDF à moustaches.
J'espère que notre forum va retrouver sa sérénité, bisous à vous tous.

Salut matutinal à tous,

Désolé pour le billet de ce jour, pas drôle il est. Hier j'ai hésité à le mettre, un 11 novembre, non que je me trompe de guerre, mais les dissensions du forum me crispent, je préfère partir en errance à la recherche d’un lieu plus serein... mes absences sont la conséquence de tensions que je n’apprécie pas…un mail assassins ou des paroles que je trouve bêtes. J’évite les controverses stériles… ne croyez pas que je cherche à donner des leçons en disant cela.

J’en reviens à mon propos, d’abord il y a une lecture, ensuite il faut vous dire que mon épouse et moi nous publions quelques articles dans un bulletin catho (oui, oui, moi l’agnostique).
Ici, pas vraiment un article juste une fiche de lecture.

MAÏTI GIRTANNER, ce nom nous était inconnu avant de lire « Résistance et Pardon », ce modeste article nous vous l’offrons comme un partage.
Bonne lecture et qu’il vous donne envie de lire le livre….

MAÏTI GIRTANNER

Née en 1922, Marie-Thérèse a 3 ans quand son père meurt. Elle grandit près de son grand-père, musicien, compositeur et professeur au Conservatoire de Paris qui découvre en elle de réelles dispositions pur le piano. Animée d’une foi profonde, elle perçoit dans le piano, la voie tracée par le Seigneur pour Le servir. À 12 ans, elle donne son premier concert ; une belle carrière s’ouvre devant elle …

« Je ne veux pas faire de ma vie une tragédie ».

1940, imaginons-la sur sa bicyclette sillonnant la campagne de la Vienne ; de l’autre côté: c’est la France Libre … La maison familiale réquisitionnée par les allemands, elle a 18ans, entre dans la résistance et va fonder son propre réseau.
« … Presque tous des étudiants, donc parfaitement insoupçonnables … » Traversées de la Vienne pour aider les clandestins à passer en la zone libre, récupérer des cartes d’état-major pour Londres, transmettre des informations falsifier des papiers, des kilomètres à bicyclette avec toujours « la peur au ventre ».


Réquisitionnée par Gestapo pour donner des concerts de piano, elle « marchande » son salaire à chaque fois contre la libération de camarades : « des amis insoupçonnables arrêtés par erreur »

Arrêtée, fin 1943, le chef de la Gestapo croit d’abord à une erreur ; mais les preuves sont là : la punition, exemplaire et les représailles seront à la mesure de son orgueil blessé. Maïti sera transférée dans un lieu secret où des médecins bourreaux s’acharneront, en toute conscience, à lui infliger le maximum de souffrances et de dégâts.

Laissée pour morte, à 21 ans, elle est sauvée par la Croix Rouge.
Après 8 ans d’hospitalisation, la moelle épinière atteinte, elle souffre jour et nuit, elle ne peut plus jouer du piano, d’autres séquelles, non moins terribles, l’obligeront à renoncer au mariage. Elle ira, sur un brancard, suivre des cours à la Sorbonne. Au fil du temps, elle pourra rester quelques heures par jour hors de son lit. Elle donnera des cours à des élèves qui préparent des carrières artistiques de haut niveau, comme elle s’y préparait . Sur le plan spirituel, elle est tertiaire de l’ordre de Saint Dominique et devient l’un des pivots de la Fraternité des malades.…

« Oser et tenir bon »

Telle est la devise de la famille suisse de son père dont elle reçoit une foi protestante.
« Depuis le premier jour où j’ai fait passer des prisonniers et jusqu’au moment où j’ai été prise, j’ai vécu dans une peur jour et nuit. Dans une peur épouvantable. J’ai toujours avancé, avancé. » … « Quand j’ai commencé à faire de la Résistance j’avais conscience d’entrer dans une situation périlleuse. C’est pourquoi je ne pouvais m’attendre à ce que l’on me fasse de cadeau, de l’autre côté… »
Maïti est la plus jeune des 19 prisonniers du groupe. Elle réalise que s’ils restent prostrés dans un mutisme morbide, ils vont devenir fous. Alors, elle leur parle et leur parle de Dieu, de sa foi en « Dieu qui les aime d’un amour fou et vers lequel nous allons. » … Elle parle de la vie éternelle après la mort. Tout en respectant les croyances de chacun, elle va leur proposer une prière à Marie, ensemble. « Le fait d’avoir déclenché la parole, cela nous a beaucoup aidés. »
Initiée très jeune à la lecture de la bible, elle garde en mémoire la Parole de Dieu qui l’habite, qui vit en elle et dont elle peut parler. La parole est pour elle un moyen « d’oser tenir bon ». Toujours se mettre devant des choix possibles ; logique, humaine et intelligente, Maïti connaît la règle du jeu : c’est à elle de choisir ; personne ne choisit pour quelqu’un d’autre.

« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi » psaume 110,2.

« Dieu ne veut pas le mal, et c’est cela qui nous fait tenir ... et finalement, ce n’est pas le mal qui gagne .»
Même Léo, le médecin trouve grâce à ses yeux. Elle ne comprend pas comment un jeune homme de 26ans arrive à devenir le bourreau de ses frères. L’homme n’est pas cruel par nature, Dieu n’a pas voulu que l’homme soit cruel.
« J’ai toujours pensé que le malheur était du côté plus du côté du bourreau que de la victime. » …
Après l’anéantissement, la perte de la parole, la solitude, les renoncements « deux désirs se sont imposés à moi, comme malgré moi. Le premier fut le désir fou de pardonner à celui qui m’avait détruite. Mais comment faire ? Etait-ce possible ? le second fut de chercher ce qu’il me restait comme possibilité de servir. Ces deux désirs ne m’ont jamais quittée.»

Pendant 40 ans, Maïti prie pour cet homme tous les jours ; dès le début, elle porte Léo, son tortionnaire, dans sa prière. Le pardon, « c’est là un passage dans le cœur qui est très difficile, je ne savais pas si j’y arriverais. » Un long cheminement que celui du pardon ; comme une aventure, une quête, celle de la vérité en deçà de la réalité apparente de la vie : réalité douce et heureuse ou réalité tragique de l’homme dans sa toute sa dureté.

La rencontre … Le pardon

1984, « Je reçois un coup de téléphone. J’ai tout de suite reconnu sa voix :
- Pouvez-vous me recevoir ?
J’ai eu l’impression que l’immeuble me tombait sur la tête. J’étais couchée, dans une période très douloureuse. Je me suis entendue répondre :
- Venez. »
Maïti revoit cet homme qui vient pour lui parler de la mort. Il est très malade et n’a plus que quelques semaines à vivre. Il a cherché cette jeune fille qui, dans le camp, parlait de la vie après la mort.
Les paroles entendues « comme l’huile, l’avaient pénétré. »
Elle lui parle de l ‘Amour de Dieu pour tous les hommes. Puis « cet homme qui était très bel homme a baissé la tête et a dit avec une grande humilité, comme un enfant :
- Mais qu’est ce que je peux faire maintenant ?
- L’amour … donnez beaucoup d’amour autour de vous, parlez à Dieu, balbutiez, Dieu habite toutes ses créatures, même les plus enténébrées …
Au moment de partir, il était debout à la tête de mon lit, un geste irrépressible m’a soulevée de mes oreillers alors que cela me faisait très mal, et je l’ai embrassé pour le déposer dans le cœur de Dieu. Et lui, tout bas, m’a dit « Pardon ». c’était le baiser de paix qu’il était venu chercher. A partir de ce moment là, j’ai su que j’avais pardonné. »
Quelle profondeur dans cet échange !

L’heure de Maïti est arrivée, son témoignage se transmet comme une étoile dans la nuit.
Une histoire vraie qui encourage à vivre des chemins de pardon comme chemin de vie et de vérité.


A partir du livre « Résistance et Pardon »

Belle histoire. Merci Gus.

Connais-tu un moyen pour rendre un groupe humain parfaitement homogène ? Tout le monde cherche cela, je crois.

Bonjour à tous.

Le vent s'est calmé, mais le ciel reste très nuageux. Peut-être la balade prévue hier sera-t-elle possible aujourd'hui. Il y avait du soleil à la dernière balade et j'ai pu me prendre en photo. J'en profite pour vous souhaiter une...

Frédy,

Tu le sais aussi bien que moi, hélas, le web fonctionne comme un déversoir, ce que les gens ne peuvent dire dans le monde réel, ils l’expriment sans retenu derrière le masque de l’anonymat.
Mon challenge, c’est la diversité, des genres, des cultures etc.…quant à une parfaite cohérence, ça me fait froid dans le dos…. Il nous faut apprendre à vivre en intelligence avec notre environnement, pas seulement les hommes mais aussi avec la nature.

Merci Gus, quelques larmes, mais des larmes douces - cette rose t'appartient je l'avais trouvée tellement belle !

Agréable journée à vous tous.

Bonjour à tous

Scouby, j'ai une pensée amicale pour toi et pour ta marraine qui vient d'être hospitalisée. Tu te dévoues beaucoup pour les autres, tu es sans cesse en chemin, J'espère que les choses s'arrangeront pour le mieux, bon courage.

Bernadette, gente dame je t'offre pour tes très beaux vers une petite chanson de Carlos. J'ai cherché une vidéo mais je ne l'ai pas trouvée. A défaut, tu pourras écouter ce chef d'oeuvre impérissable ici :
http://www.bide-et-musique.com/song/11300.html . Dis moi, juste à moi, si tu porte maintenant une ceinture de chasteté... j'dirai rien promis

Mésange cela me fait vraiment plaisir que tu sois passée sur le forum, tu te fais trop rare. J'espère que ton mari va mieux et que ta santé est bonne, bien que tu ne sortes pas beaucoup. Les bénévoles, c'est un vrai problème mais il faut dire aussi que les associations, du moins certaines deviennent très difficiles dans le recrutement, ce qui décourage pas mal de monde. Comme toujours, il y a du bon et du mauvais des deux cotés.

Je suis triste pour joanie, je l'avais rencontrée à Strasbourg et ce fut une journée de rires et d'amitié. J'aime beaucoup sa verve et la façon dont elle écrit. Elle a ses défauts mais... moi aussi j'ai les miens . Je la regretterai beaucoup . Bonne route à toi aussi joanie

Je voudrais dire que lorsqu'on communique par écrit, je crois que l'impact est bien plus important que verbalement. Frédy avait le droit de donner son opinion, joanie aussi et je trouve que la toute toute petite étincelle est devenue beaucoup trop vite un feu ravageur. Si Frédy voulait bien mettre un peu d'eau dans son vin et Joanie un peu de vin dans son eau, je crois que les choses en seraient facilitées non ?

Je déteste les conflits moi aussi car je tiens essentiellement à ce que le web reste un plaisir sinon, ce n'est pas la peine d'avoir des échanges et je souhaite que, chacun mettant un peu de bonne volonté, tout rentrera dans l'ordre et que nous reverrons joanie sur le forum.

je m'arrête, le devoir m'attend...ET TON MENAGE FRANCINE !!! j'ai honte... je file...

Sale temps ! J'ai annulé aussi la rando d'aujourd'hui : avec le vent, maintenant levé et fort, en forêt, on risquerait de prendre des branches sur la tête.

bonjour a vous tous
hé bé on peut dire que çà a soufflé hein....110 sur le haut du département....153 sur le Martstein(Vosges),nous dans les 90.....et quand nous sommes rentrés hier soir de chez le fiston....sur l'auto-route(A31)....fallait drôlement faire gâffe, notamment en doublant les poids lourds......
ce jour ,lessivage....et apremidi quelques emplettes.......
et comme les arbres se dépouillent a la vitesse GV....dimanche si on a une rémission.....on se collera au ramassage....çà vaudra le coup!


Francine....la ceinture de chasteté est comme le reste.......bien rouillée et n'a pu toute ses qualités

Freddy vrai qu'en forêt une balade peut devenir +que dangereuse....chez nous les municipalités qui ont des parcs, les ferment au delà d'un vent a 80.....mesure de précaution!!!!!

Dany......belle rose toujours

Gus, je ne connaissais pas cette personne, merci de l'avoir mise en valeur.

a tous les autres.....sortez couverts.....

courageusement mon mari et moi, venons de faire nos vaccins antigrippe avé le virus qui a posé tant de polémique......
hier soir apres souper, avé mon fils et ma belle fille, nous nous sommes repassés 2012 le film....super effets spéciaux, génial sur le plan cinématographique,qu'elle mise en scéne....chapeau ...tres bien
pour le reste sujet vachement et hautement philosophique.....Maya ou pas......çà ne laisse pas indifférent.....cela prépare a une éventualité des risques que court le monde des planétes....on ne connait pas tout de l'univers loin sans faut......et cela nous amène a réfléchir que nous devons rester humble devant l'univers....

Francine, je viens de visionner ton lien

bonne journée a tous....ralala çà décoiffe sec hein.....

coucou,

dégouté ! j'ai du appuyé sur Ctl et mon message a disparu.

Je recommence de mémoire. Je regrettais que Joanie s'en aille mais chacun est libre n'est-ce-pas?
Personnellement j'ai des chances de la revoir,'elle fait quelques escapades à Lyon puisqu'elle
n'habite pas dans" le trou du cul du monde" quoiqu'elle en dise .

J'ai lu attentivement l'histoire de Maiti Girtannier merci Gus ) et j'admire son attitude. Pardonner à son bourreau
qui l'a torturée de cette façon, chapeau!. Je ne pourrais pas, parce-que je n'ai pas la foi chrétienne, probablement. Pourtant :


«Même les bourreaux ont une âme»
Ecrit par Maïti Girtanner et Guillaume Tabard, Ed. CLD

Et il doit être possible de

«Demander «pardon» sans s’humilier»
De Jean Monbourquette et Isabelle d’Aspremont, Ed. Novalis

ou d' «Apprendre à pardonner»
De Chantal Calatayud, Ed. Jouvence

Demain, je pars en rando dans le Bugey. Notre organisateur a remis la sortie à samedi au lieu
de dimanche, espérons qu'il a bien visé puisqu'il pleut un jour sur deux.

Bon weed-end à tous.

Bonjour. J'ai demandé à Frédy de me rayer définitivement de sa liste de membres de LE. J'ai dit que je ne partirai pas sans donner d'explications (ce que je trouve détestable et mal élevé même si on ne part que momentanément d'ailleurs). Donc l'ambiance ne me convenant plus - et je pense que tout le monde peut comprendre étant donné les insinuations méchantes et bêtes qui ont été écrites avec un manque de franchise qui me désarçonne suite à mon coup de gueule concernant Joanie - je vais aller voir si d'autres forums savent mieux manier l'humour et le franc-parler ! Je dois dire que je regretterai peu de personnes ici étant donné le peu de cas que l'on faisait de mes posts. On aime bien se regarder le nombril je crois sur LE ! Adieu donc !

Je ne ferme la porte à personne, pas plus à Yvanne qu'à Joanie. Chacun va et vient comme il veut.

Ca souffle dehors, mais il ne pleut plus. Peut-être la randonnée de demain sera-t-elle possible. Je l'espère car j'ai des fourmis dans les jambes.

Bernadette, la rose appartient à Gus, oui elle est magnifique.
Chez nous il a fait doux sans soleil, demain ils annoncent une belle journée espérons le.
Dou ce nuit à vous.

Bonne nuit tout le monde. Demain, coûte que coûte, je la ferai la rando.

Je viens vous souhaiter une bonne soirée mes amis, en remerciant du fond du coeur Mésange, Passlou et Dany pour leur gentillesse. Ma marraine va mieux, elle devrait quitter l'hôpital la semaine prochaine, après encore une panoplie d'examens, ce qu'elle n'estime pas nécessaire... mais une fois qu'on est entre les mains des médecins, ils ne vous lâchent pas si facilement !
Elle s'enfuirait bien, mais cela ne lui serait pas facile, car outre son souci cardiaque, elle a le bras droit cassé, donc pas vraiment en superforme !
Nous sommes rentrés sous la tempête, on n'y voyait pas à trois mètres, je n'étais pas très rassurée.
Fredy, fais quand même attention lors de ta randonnée, demain. A Bruxelles aussi les parcs et forêts étaient fermés, le vent soufflait vraiment très fort.
Joanie, Yvanne, je vous regretterai, mais ce n'est peut-être qu'un simple au revoir, je l'espère !
Bisous à vous tous, le forum !

La nuit, le vent se calme. La randonnée choisie pour aujourd'hui est très rarement en forêt. Les risques sont donc moindres. Et puis les deux personnes inscrites font leur première sortie avec OVS, je ne voudrais pas les décevoir.